mercredi 16 décembre 2009

El perdon y la justicia social

Castellano - Article en Français par Honduras Démocratique

Que personajes como el Presidente de la República Dominicana, Leonel Fernandez, o el ministros de relaciones exteriores del Brasil, Celso Amorim, o los mexicanos, venezolanos o nicaraguences y otras personas más, desconozcan el documento de la Convención de Caracas y con caracter de cumplimiento obligatorio para todos los paises signatarios, no es algo nuevo, las leyes generalmente las hacen los fuertes para que los débiles las cumplan. El mensaje de los que no le temen a como los recuerde la historia es que los poderosos pueden violar las leyes cuantas veces sea necesario.

Si bien es cierto que el perdonar nos engrandece como personas y nos acerca más a Dios pues a diario pedimos que se perdonen "nuestras ofensas como tambien perdonamos a quienes nos ofenden", tambien es cierto que Dios no va a perdonar a aquellos que no se arrepientan de sus malas actuaciones. Lo único que se nos exige para obtener el perdon es que estemos concientes que actuamos mal, que estemos genuinamente arrepentidos de nuestros malos actos.

Perdonar a un criminal que no esta arrepentido de sus actos y que, por el contrario, se jacta de su "viveza" para burlar las leyes y se burla de cualquier tipo de justicia desconociendo las leyes de caracter nacional y de caracter internacional; se burla al desconocer acuerdos firmados con caracter de cumplimiento Obligatorio como el Acuerdo Guaymuras y se burla de lo establecido en convenciones internacionales, tambien de cumplimiento obligatorio, como el de la Convencion de Caracas de 1954 con respecto al Asilo; Perdonar a un criminal de esa naturaleza no es un acto que engrandezca a Honduras por su gran espíritu de humanidad.¡No!. Sería un acto que achicaría a Honduras por hacer gala de un grado inhumano de IMPUNIDAD.

No es razonable, bajo ningun argumento, perdonar a un CRIMINAL que no se arrepiente de sus actos y que no esta pidiendo perdon.

No es razonable otorgar amnistía a un Megalomitómano que no ha escatimado esfuerzos para dividir al Pais; que ha traicionado a toda una noble nación que confió en él; que continúa haciendole daño y que despilfarró miles de millones de lempiras (y no se exagera pues fueron más de 5 mil millones de lempiras) en un proyecto personal para perpetuarse en el poder a costas del sufrimiento de un pueblo que su pobreza, insalubridad e ignorancia la debe a su alto grado de credulidad e ingenuidad. ¡No es razonable, no es cristiano ni es humano!.

Ninguna nación ha logrado forjar un gran futuro manteniendo la mirada fija en su pasado, pero las grandes naciones tienen un pasado que ha servido de cimiento para la construcción de su futuro. ¿ Que futuro tendremos nosotros si lo construimos sobre los cimientos de la impunidad? ¿Que futuro nos espera si sabemos que infringir la ley no es más que una inocente manifestación de "viveza"?

Para el debil y pobre se han elaborado leyes que debe cumplir, pero las leyes no son las mismas para el poderoso, esas leyes no lo alcanzan, pues si las infringe, existe "el perdón" como manifestación del espíritu cristiano de los hondureños. Ese perdón puede tomar la figura de "exenciones", "condonaciones", "amnistía" o "Indulto": ¿Es ese el mensaje?.... ¿Con esas normas es que pensamos construir la NUEVA SOCIEDAD en Honduras?

No compatriotas, no será con el perdón a los poderosos como construiremos una sociedad más justa. Solo iniciaremos la cosntrucción de una verdadera sociedad justa cuando eliminemos la impunidad en cualquiera de sus manifestaciones,

¡SOLO PODREMOS HABLAR DE JUSTICIA SOCIAL, DESARROLLO Y DEMOCRACIA CUANDO NADIE, PERO NADIE EN HONDURAS, ESTE POR ENCIMA DE LA LEY!

Jorge Ortega
Honduras
14 dic 2009

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Français
Le pardon et la justice sociale

Que des personnages comme le Président de la République Dominicaine, Leonel Fernandez, ou le ministre des Affaires étrangères du Brésil, Celso Amorim, ou les Mexicains, vénézuéliens ou nicaraguayens et autres personnes, ignorent le document de la Convention de Caracas et son caractère exécutoire obligatoire pour tous les pays signataires, n'est pas chose nouvelle. Les lois sont en général faite par les forts, pour que les faibles les exécutent. Le message que font passer ceux qui n'ont pas peur de la façon dont l'histoire se souviendra d'eux, ce message est que les puissants peuvent violer les lois autant de fois que nécessaire.

Bien qu'il soit certain que le pardon nous grandit en tant que personnes et nous rapproche plus de Dieu, puisque nous Lui demandons tous les jours que soient pardonnées "nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous offensent", il est également certain que Dieu n'octroiera pas de pardon pour ceux qui ne se repentent pas de leurs mauvais comportements. La seule chose que l'on exige de nous pour obtenir le pardon, c'est que nous soyons conscients que nous agissons mal, que nous sommes véritablement repentants de nos mauvaises actions.

Octroyer le pardon à un criminel qui n'est pas repentant de ses actes et, qui au contraire se vante de sa "vivacité" pour tromper les lois se moquant de tout type de justice, ignorant les lois de caractère national et international; outrage en ne reconnaissant pas les accords signés, accord ayant un caractère d'exécution Obligatoire comme l'est l'Accord de Guaymuras et se moque de ce qui est établi dans les conventions internationales, dont l'exécution est également obligatoire, comme l'est à l'égard du Droit d'Asile la Convention de Caracas de 1954. Octroyer le pardon à un criminel de cette nature n'est pas un acte qui grandit le Honduras par son grand esprit d'humanité. Non!. Ce serait plutôt un acte qui avilirait le Honduras, pour se targuer d'un degré inhumain d'IMPUNITÉ.

Il n'est pas raisonnable quel qu'en soit l'argument, de pardonner à un CRIMINEL qui ne se repent pas de ses actes et qui ne demande pas pardon.

Il n'est pas raisonnable d'octroyer une amnistie à un Mégalo Mythomane qui n'a pas lésiné sur les efforts pour diviser le Pays; qui a trahi toute une noble nation qui a eu confiance en lui; qui continu de lui faire du mal et, qui a gaspillé des milliers de millions de lempiras (et ce n'est pas exagéré puisque c'était plus de 5 milliards de lempiras) dans un projet personnel, pour se perpétuer au pouvoir, au détriment de la souffrance d'un peuple qui doit sa pauvreté, son insalubrité et son ignorance à son haut degré de crédulité et d'ingénuité. Ce n'est pas raisonnable, ce n'est ni chrétien ni humain!.

Aucune nation n'a réussi à se forger un grand avenir en maintenant le regard fixé vers son passé, mais les grandes nations ont un passé qui a servi de ciment pour la construction de leur avenir. Quel avenir aurons-nous, si nous le construisons sur les bases de l'impunité ? Quel avenir nous attend, si nous savons qu'enfreindre la loi n'est qu'une manifestation innocente de "vivacité" ?

Des lois ont été élaboré pour le faible et le pauvre, et il doit les exécuter. Mais les lois ne sont pas les mêmes pour le puissant. Ces lois ne l'atteignent pas, donc s'il les enfreint, pour lui, il existe "le pardon", comme manifestation de l'esprit chrétien des honduriens. Ce pardon peut prendre la figure "d'exemptions", "de remises", "d'amnistie" ou "de Grâce" : Est-ce là le message ?.... Est-ce avec ces normes que nous pensons construire la NOUVELLE SOCIÉTÉ au Honduras ?

Non compatriotes, ce ne sera pas avec le pardon aux puissants que nous construirons une société plus juste. Nous commencerons seulement la construction d'une véritable société juste, lorsque nous éliminerons l'impunité quelles que soient ses formes de manifestations.

NOUS POURRONS SEULEMENT PARLER DE JUSTICE SOCIALE, DE DÉVELOPPEMENT ET DE DÉMOCRATIE QUAND PERSONNE, MAIS VRAIMENT PERSONNE AU HONDURAS, SERA AU-DESSUS DE LA LOI!

Jorge Ortega
Honduras
14 décembre 2009

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