El depuesto gobernante Manuel Zelaya reaccionó hoy condenando a los diputados del Congreso hondureño que ratificaron su decisión de no restituirlo en la presidencia de Honduras y llamó “a no parar la lucha contra la dictadura que nos quita la libertad” dijo.“Vamos a seguir luchando hasta vencer esta elite que produce tanta desigualdad” dijo Zelaya a la vez que condenó la actuación del Parlamento que determinó no restituirlo tras una votación nominal y con consignación de nombres que tomó la decisión por mayoría calificada.
Ratificaron que defienden a los grupos de poder, que están de acuerdo con las élites, con los desaparecidos y con los militares, dijo Zelaya refiriéndose a los congresistas que éste miércoles se reunieron por más de diez horas para conocer la posibilidad de restituir o no a Manuel Zelaya, en el marco del acuerdo Tegucigalpa – San José.
“Hoy el pueblo esta comprobando cuales son los verdearos enemigos de la democracia que participan en elecciones pero que traicionan al pueblo” aseveró durante la lectura de un comunicado en el que reiteradamente remarcó su mensaje en contra de los diputados y su actuación.
“Hoy la elite económica y mediática celebra a través de sus instrumentos de dominación” repitió.
Asimismo señaló al presidente electo Porfirio “Pepe” Lobo a quien llamó “el presidente del fraude”.
“Vienen tiempos en los que se nos va a aplicar la pena de muerte, se devaluará nuestra moneda, subirá el costo de la vida y se reducirá el poder adquisitivo” avizoró.
Para Zelaya las elecciones que se realizaron el domingo 29 de noviembre y en la que los hondureños acudieron a votar masivamente, eran parte de un plan concebido que se esta consumando.
Advirtió que el desarrollo del país sólo se logrará “cuando rompamos las cadenas de la opresión”.
Zelaya llamó “a no parar la lucha contra la dictadura que nos quita la libertad", puntualizó.
Fuente : Proceso Digital
0-0-0-0-0-0-0-0
Français
Zelaya condamne la décision qui ne le restitue pas à la présidence et appelle à la lutte
L'ex président Manuel Zelaya a réagi hier et a condamné les députés du Congrès hondurien qui ont ratifié leur décision de ne pas le restituer à la présidence du Honduras et a demandé “de ne pas arrêter la lutte contre la dictature qui nous enlève la liberté”.“Nous allons continuer la lutte jusqu'à vaincre cette élite qui produit tant d'inégalité” a dit Zelaya et a condamné le comportement du Parlement qui a pris la décision de ne pas le restituer après un vote nominal à une majorité qualifiée, et consignation de noms.
"Ils ont ratifié qu'ils défendent les groupes de pouvoir, qui sont d'accord avec les élites, avec les disparus et avec les militaires", a dit Zelaya en se référant aux congressistes qui mercredi se sont réunis plus de dix heures pour statuer sur la possibilité de restituer ou non Manuel Zelaya, dans le cadre de l'Accord Tegucigalpa – San José.
“Aujourd'hui le peuple vérifie quels sont les véritables ennemis de la démocratie qui participent au élections mais qui trahissent le peuple” a-il assuré pendant la lecture d'un communiqué dans lequel a plusieurs reprises il a pointé du doigt, les députés et leur comportement.
“Aujourd'hui l'élite économique et médiatique se réjouie, via ses instruments de domination”.
De la même manière il a désigné le président élu Porfirio “Pepe“ Lobo, comme “le président de la fraude”.
“Dans les temps qui viennent l'on va nous appliquer la peine capitale, notre monnaie sera dévaluée, le coût de la vie augmentera et, la capacité d'achat sera réduite”.
Pour Zelaya, les élections qui ont eu lieu dimanche 29 novembre et, dans lesquelles les honduriens sont venus voter massivement, faisaient partie d'un plan prévu d'avance et, qui est en train de se réaliser.
Il a annoncé que le développement du pays s'obtiendra “lorsque nous romprons les chaînes de l'oppression”.
Zelaya a appelé “à ne pas arrêter la lutte contre la dictature qui nous enlève la liberté".
Source : Proceso Digital
Articles
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire