mercredi 26 août 2009

Les Ministres des Affaires Étrangères de l'OEA, rentrent à Washington la tête basse

Français - Artículo en Castellano por Honduras Démocratique

Mercredi 26 août 2009 - Les entretiens de la commission de l'OEA se sont terminés hier sans avoir pu conclure un accord entre les membres du Gouvernement par intérim conduits par Roberto Micheletti             
Les Ministres des Affaires Étrangères avaient pour mission de négocier un accord visant à ce que le Président par intérim accepte de démissionner, pour que l'ex-président revienne au pouvoir.

Dans un premier temps, des réunions ont eu lieu avec les acteurs de la société civile, militaire, législative, juridique, ainsi que les candidats à l'élection présidentielle.

En fin de séjour, le Président Micheletti a reçu la commission de l'OEA au Palais Présidentiel, et a réitère sa décision et celle de son gouvernement. Rester ferme et en assurer les conséquences quelles que soient les pression exercées par la communauté internationale. Pas de retour, pas d'amnistie pour Manuel Zelaya.

Tous les acteurs s'accordent à dire, qu'un accord ne peut être signé que si et seulement si, il y a respect absolu de la loi et de la Constitution.

La commission a souligné que des avancées avaient eu lieu, mais elle ne sont pas encore suffisantes pour que soit accepté la totalité de la proposition du Président Arias, et qu'il est indispensable qu'un rapide retour à la normalité puisse garantir au honduriens, sécurité, prospérité et développement.

La commission a fait remarquer qu'il était indispensable que l'accord soit signé rapidement et avant le 1 septembre, date à laquelle doit commencer la campagne électorale.

Le processus électoral suivra son cours comme cela était prévu. Quand à ne pas reconnaître les élections, n'oublions pas que les primaires ont eu lieu avant le départ de l'ex-président et que l'OEA en a validé le déroulement électoral ainsi que les résultats.

La défaite est amère pour les Ministres des Affaires Étrangères qui rentrent les mains vides à Washington. Si l'on ajoute à cela que dès aujourd'hui, en réunion du conseil permanent ils vont devoir se prononcer sur la requête introduite par le gouvernement Colombien sur les intentions interventionniste de Chavez dans les affaires internes Colombie, l'on peut dire que ces dernier jours sont un sacré "coup dur" pour l'OEA.
Honduras Démocratique
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Castellano
Los Cancilleres de la OEA vuelven a Washington con la "cabeza agachada"

Miércoles 26 de agosto 2009 - Ayer, terminaron las reuniones de la Comisión de la OEA sin haber podido concluir un acuerdo entre los miembros del Gobierno Provisional que encabeza Roberto Micheletti.
Los Ministros de Relaciones Exteriores tenían la misión de negociar un acuerdo apuntando a que el Presidente Provisional acepte renunciar para que el ex Presidente volviera al Poder.

En un primer momento, esas reuniones tuvieron lugar con los actores de la sociedad civil, militar, legislativa, jurídica, así como con los candidatos a la elección presidencial.

Al final de la visita, el Presidente Micheletti, recibió a la Comisión de la OEA en el Palacio Presidencial, reiterándoles su decisión así como la de su gobierno. Mantenerse firmes y soportar las presiones, cuales quiera ellas sean, que sobre ellos ejerza la Comunidad Internacional. No habrá retorno, no habrá anmistia para Manuel Zelaya.

Todos los actuantes estuvieron de acuerdo en expresar que un acuerdo no puede ser firmado, si no hay un respeto absoluto de la Ley y de la Constitución.

La Comisión remarco que se habían hecho avances, pero que no son, todavía, suficientes para que la totalidad de la proposición del Presidente Arias sea aceptada, y, que es indispensable un rápido retorno a la normalidad que pueda garantizar al pueblo hondureño, seguridad, prosperidad y desarrollo.

La Comisión destaco que es indispensable que el acuerdo sea firmado rápidamente, y antes del primero de septiembre, fecha en la que deberá comenzar la campaňa electoral.

El proceso electoral seguirá su curso, tal como estaba previsto. En cuanto a no reconocer las elecciones, no debemos olvidar que las primarias ya tuvieron lugar antes de la salida del ex presidente y que la OEA ha validado el desarrollo electoral, así como los resultados.

Un amargo fracaso para los Ministros de Relaciones Exteriores extranjeros que vuelven con las manos vacías a Washington. Y, si a todo esto agregamos que hoy, en reunión del Consejo Permanente, deberán pronunciarse sobre demanda introducida por el gobierno colombiano, sobre las intenciones intervencionistas de Chávez en los asuntos internos de Colombia. Debemos decir que estos últimos días, han sido "aciagos" para la OEA.
Honduras Democrático

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