Proposer l'amnistie, c'est dissimuler la corruption

Castellano - Article en Français par Honduras Démocratique

Plantear una amnistía es encubrir la corrupción

El candidato presidencial por la Democracia Cristiana (DC) Felícito Ávila, tras reunirse con la delegación de cancilleres de la Organización de Estados Americanos (OEA), consideró que plantear una amnistía a favor de Manuel Zelaya, “es encubrir la corrupción y además es un acto inmoral”. 

“En conclusión la reunión con los cancilleres es que nos escucharon sobre los temas que hemos respondido, y el que más se trata es el de la amnistía que dicen que nos hemos equivocado”.

“Pero mi posición fue y es que plantear una amnistía es encubrir la corrupción y nosotros no estamos de acuerdo con eso porque además es inmoral”, recalcó.

“Ellos (los cancilleres) hablan de la amnistía a partir del tema de que creen que estamos equivocándonos que nosotros como que interpretamos mal, como que realmente ni leer podemos la Constitución para saber lo que dice, es decir que interpretan que no estamos haciendo lo correcto sobre el tema de la amnistía“, señaló.

“Pero además expusimos que los candidatos tenemos que sentarnos para ver qué campaña es la que tenemos que llevar a la práctica”.

“Y que no sea más de odio que no sea una campaña más de propuestas, de mentiras que sea de verdades y al pueblo hay que decirle cuáles son sus limitantes y sus fortalezas”.

“Sobre los otros temas como el de la reconciliación de la familia y sigo creyendo que eso se hace a partir de que tengamos una visión común todos los hondureños sobre el país que queremos hay todos nos reconciliamos”.

Fuente : La Tribuna

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En Français
Le candidat présidentiel pour les démocrates-chrétiens (DC) Felícito Ávila, après une rencontre avec la délégation des Ministres des Affaires Étrangères de l'Organisation des États Américains (OEA), considere que proposer une amnistie pour Manuel Zelaya, c'est dissimuler la corruption et c'est également un acte immoral. "

"En conclusion; lors de la réunion avec les Ministres des Affaires Étrangères, il a été impossible de nous entendre sur les questions importantes auxquelles nous avons répondu, le point de l'amnistie étant le plus discuté et réfuté, ce qui leur a fait dire  que nous avions tort."

"Ma position est, que de proposer une amnistie, c'est dissimuler la corruption en place. Nous ne partageons pas ce point de vue car c'est un acte immoral", a-t-il dit.

"Les ministres pensent que nous nous trompons, que nous interprétons mal, c'est comme si clairement nous étions incapables de lire la Constitution et savoir ce qu'elle dit. Ils estiment que sur la questions de  l'amnistie, nous sommes dans l'erreur", a-t-il ajouté.

"Mais nous avons également soutenu, que nous, les candidats à la presidentielle devons discuter du type de campagne électorale nous devons mettre en œuvre"

"Et que cette campagne, ne soit pas une campagne de haine mais une campagne basé sur les propositions, qu'elle ne soit pas empreinte de mensonges mais de vérité et que les candidats doivent prévenir le peuple de leurs limites et de leurs points forts."

"En ce qui concerne d'autres questions telles que la réconciliation de la famille hondurienne, cela se fera à partir du moment ou nous aurons tous une vision commune du pays que nous voulons. Là, nous serons réconciliés"

Sources : La Tribuna