vendredi 14 août 2009

Zelaya sème la terreur au Nicaragua

Castellano - Article en Français
par Honduras Démocratique

Liberales molestos con Zelaya

Ramón H. Potosme y Leyla Jarquín

El Movimiento Vamos con Eduardo y el Partido Liberal Constitucionalista, PLC, consideraron que el presidente depuesto de Honduras Manuel Zelaya abusa de su estadía en territorio nicaragüense y lo señalan de violar las normas internacionales al organizar a hondureños en territorio nicaragüense o llamar a sus compatriotas a la insurrección.

La Bancada Democrática Nicaragüense, (BDN) presentó una propuesta de resolución que introducirán en la Asamblea Nacional para que se defina el estatus migratorio de Zelaya, si será asilado o en caso contrario que sea expulsado del país, pues consideran que ha violado las normas del Derecho Internacional.

En la propuesta, la Asamblea Nacional condenaría las actuaciones de Zelaya y demanda al presidente Daniel Ortega que pida al presidente hondureño cese sus “acciones irregulares” y respete la legislación nacional.

Montealegre advirtió que obtener la condición de asilado o ser expulsado del país depende del mismo Zelaya. “Si se cierra la boca y deja de estar usando nuestro territorio él se puede quedar aquí o como asilado o como un simple turista, (pero) si él insiste en estar utilizando nuestro territorio como una base insurreccional que se atenga a las consecuencias”, señaló.
PLC dice que se movilizará
Por su parte, el PLC consideró que la estadía de Zelaya en Nicaragua pone en peligro la seguridad, la paz y ocasiona severos gastos a los nicaragüenses.

“Si Zelaya no cesa en sus actitudes de violentar el derecho de asilo debe ser expulsado del país. Demandamos al gobierno que expulse a Ortega... digo a Zelaya, con los más de 500 vagos con los que anda, y Ortega que se vaya de resbalón”, dijo el vicepresidente del PLC, Wilfredo Navarro.

En caso que el gobierno y Zelaya no cambien su postura y no logren pasar moción alguna en el Parlamento, el PLC advirtió que movilizará a sus simpatizantes para evidenciar el repudio a Zelaya por su permanencia en el país.

Curiosamente el PLC nunca organizó movilización alguna cuando protestaba en contra del fraude electoral de noviembre de 2008, cuando según ellos, les arrebataron decenas de alcaldías.

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En Français
Les libéraux gênés par la présence de Zelaya

Le Mouvement " Allons avec Eduardo et le Parti Libéral Constitutionnaliste, PLC, considèrent que l'ex Président du Honduras Manuel Zelaya, abuse de son séjour en territoire nicaraguayen et le signalent pour violation des normes internationales pour le regroupement d'honduriens sur le territoire nicaraguayen et d'appeler ses compatriotes à l'insurrection.

Le groupe parlementaire Bancada Democrática Nicaragüense (BDN) à présenté à l'Assemblée Nationale, une proposition de résolution afin de définir le statut migratoire de Zelaya. Asile politique ou cas contraire qu'il soit expulsé du pays, le BDN estimant qu'il a violé les règles de droit international.

La proposition faite à l'Assemblée Nationale, condamnerait les actions de Zelaya et demande au Président Daniel Ortega Zelaya qu'il fasse savoir à l'ex président du Honduras qu'il mette un terme à ses "actions illégales" et qu'il respecter la législation nationale.

Montealegre a déclaré que l'octroi de l'asile politique ou l'expulsion du pays, dépend de Zelaya. “S'il se tait et arrête d'utiliser et abuser de notre territoire, il peut rester ici comme réfugié politique ou comme simple touriste, mais s'il insiste à vouloir utiliser et abuser notre territoire comme base insurrectionnelle, qu'il s'attende à en subir les conséquences.

PLC a dit qu'il se mobilisera
De son cote, le PLC a estimé que le séjour de Zelaya au Nicaragua, menace la sécurité, la paix et occasionne de sérieux coûts financiers aux nicaraguayens.

"Si Zelaya ne cesse dans son attitudes de violer le droit d'asile il doit être expulsé. Nous demandons au gouvernement d'expulser Ortega ... je veux dire Zelaya, et les 500 "feignants" qui sont avec lui , et Ortega, qu'il aille se faire voir " a déclaré le Vice Président du PLC, Wilfredo Navarro.

Dans le cas ou le gouvernement et Zelaya ne changeraient pas de posture, et si la motion proposé n'était pas acceptée, le PLC a avertit qu'il mobilisera tous ses sympathisants, pour que soit mis bien en évidence la non acceptation de Zelaya dans le pays.

Il est intéressant de noter, que le PLC n'a jamais organisé une mobilisation lors des manifestations contre la fraude électorale de Novembre 2008, quand il a dit, qu'on leur avait volé des dizaines de mairies.

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