López Contreras se encuentra en Europa, en Bruselas, para sostener encuentros con representantes del Parlamento Europeo y con miembros de partidos políticos de esas naciones.En un comunicado emitido ayer por la Cancillería se afirma que sostendrá encuentros con Jaime Mayor Oreja, vicepresidente del partido popular de Europa y con José Itarguíz, miembro de la Delegación para las Relaciones con los países de Centroamérica.
Además habrá una cita con monseñor André Dupuy, que es el Nuncio Apostólico ante las Comunidad Europea.
La finalidad de este viaje es la de "informar sobre los últimos acontecimientos en la República de Honduras incluyendo los avances del diálogo Tegucigalpa-San José y los comicios electorales que se llevarán a cabo el 29 de noviembre próximo", detalla el comunicado de prensa.
Hay que recordar que con la firma del Acuerdo, hay un compromiso para que la comunidad internacional restablezca las relaciones con Honduras.
Hay una petición de las dos partes a la comunidad internacional para cesar las medidas discriminatorias que solo afectan a los más desposeídos de la nación.
En ese marco es que López Contreras viajó a Europa.
Respaldo a las elecciones
Recientemente la Comisión Europa anunció que enviará dos representantes para que sean testigos en el proceso electoral de este 29 de noviembre, pues por la falta de tiempo no podían nombrar una comisión de observadores.
El eurodiputado y presidente de la Internacional Liberal, Hans van Baalen, sostuvo que pediría a la Comunidad Europea reconocer las elecciones, algo que no dudaba sucediera.
El presidente de la República expresó su satisfacción por el apoyo brindado por el eurodiputado. Panamá reiteró, además, su respaldo a las elecciones de noviembre.
La Cancillería de ese país reaccionó ayer luego de que Manuel Zelaya afirmara, que Panamá anunció que reconocerá las elecciones hondureñas, "por instrucciones de Estados Unidos".
Según la Cancillería panameña, la posición de Panamá durante la crisis hondureña se basa en dos pilares: la preservación de la integridad física de los hondureños y el retorno a la democracia.
En ese sentido, el presidente Micheletti instó ayer a Manuel Zelaya "a que reflexiones como hondureño y lo invitó a guardar un prudente silencio con ocasión del proceso electoral y el voto del Congreso de aquí al 2 de diciembre, en aras de que el pueblo tenga la oportunidad de razonar su voto".
Honduras inició, de manera formal, los acercamientos con la comunidad internacional. Esta es la primera vez, desde que el gobierno de Roberto Micheletti asumió el poder el 28 de junio, que el canciller de la República, Carlos López Contreras, visita una región para estrechar los lazos de amistad.
Fuente : El Heraldo
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Le Chancelier López Contreras en entretiens avec des parlementaires européens
López Contreras se trouve en Europe, à Bruxelles, pour rencontrer des représentants du Parlement Européen et des membres de partis politiques de ces nations.Dans un communiqué émis hier par la Chancellerie il est stipulé qu'il rencontrera Jaime Mayor Oreja, vice-président du parti populaire de l'Europe et avec José Itarguíz, membre de la Délégation pour les Relations avec les pays d'Amérique centrale.
De plus il y aura un rendez-vous avec monseigneur André Dupuy, qui est le Nonce Apostolique auprès de la Communauté européenne.
La finalité de ce voyage est "d'informer des derniers événements ayant eu lier dans la République du Honduras incluant les avancées du dialogue Tegucigalpa-San José et les élections qui auront lieu le 29 novembre prochain", détaille le communiqué de presse.
Il faut ne faut pas oublier qu'avec la signature de l'Accord, il y a un compromis qui stipule que la communauté internationale rétablisse les relations avec le Honduras.
Il y a une pétition des deux parties à la communauté internationale pour qu'elle révoque les mesures discriminatoires qui affectent seulement les plus démunis de la nation.
C'est dans ce cadre là que López Contreras a voyagé vers l'Europe.
Soutien des élections
Récemment la Commission européenne a annoncé qu'elle enverra deux représentants pour qu'ils soient témoins dans le processus électoral de ce 29 novembre, car par manque de temps ils ne pouvaient pas nommer une commission d'observateurs.
Le député européen et le président de l'Internationale Libérale , Hans van Baalen, a affirmé qu'il demanderait à la Communauté européenne de reconnaître les élections, chose dont il ne doutait pas.
Le président de la République a exprimé sa satisfaction pour l'appui offert par le député européen. Le Panama a réitéré, son soutien aux élections de novembre.
La Chancellerie de ce pays a réagi hier après que Manuel Zelaya ait affirmé, que le Panama a annoncé qu'il reconnaîtrait les élections honduriennes, "sur instructions des États-Unis".
Selon la Chancellerie panaméenne, la position du Panama pendant la crise hondurienne est basée sur deux points : la préservation de l'intégrité physique des Honduriens et le retour à la démocratie.
Dans ce sens, hier, le président Micheletti a instamment prié Manuel Zelaya "à réfléchir comme Hondurien et l'a invité à garder silence prudent à l'occasion du processus électoral et du vote du Congrès le 2 décembre, en l'honneur du peuple pour qu'il ait l'occasion de justifier son vote".
Le Honduras a commencé, d'une manière formelle, les rapprochements avec la communauté internationale. C'est la première fois, depuis que le gouvernement de Roberto Micheletti a assumé le pouvoir le 28 juin, que le Chancelier de la République, Carlos López Contreras, visite une région pour resserrer les liens d'amitié.
Source : El Heraldo
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