Zelaya ha roto el Acuerdo de Tegucigalpa / San José y hace una interpretación personal del mismo

Castellano - En Français par Honduras Démocratique

Zelaya se niega integrar el Gobierno de Unidad Nacional

El ex presidente Manuel Zelaya y sus asesores acordaron desistir de participar en el Gobierno de Unidad y Reconciliación, si antes el Congreso Nacional no lo restituye en el cargo, así lo informó uno de sus más fieles aliados Rassel Tomé, que permanece junto a él en la embajada de Brasil.

Tomé, en declaraciones a la prensa, señaló que para que haya un gobierno de reconciliación tiene que haber un presidente, porque si no lo hay quien va ha juramentar a los nuevos ministros.

Indicó que Zelaya se reunió éste jueves con sus asesores y decidió que no presentará candidatos a ocupar las distintas carteras ministeriales, como les solicitó el presidente, Roberto Micheletti, con el fin de cumplir con el Acuerdo Tegucigalpa / San José.

Por otro lado, dijo que uno de los puntos del acuerdo cita que “se debe retrotraer la situación del Poder Ejecutivo a antes del 28 de junio, el día el golpe de Estado, que significa simple y sencillamente restituir al presidente Zelaya” antes de proceder a integrar el gobierno de “unidad y reconciliación”.

En ese sentido, arguyó que el plazo para restituir al mandatario depuesto se vence este día a las 12:00 de la noche, por lo que esperan que el Congreso Nacional, decida su restitución lo más antes posible.

Sin embargo, el secretario adjunto del Departamento de Estados Thomas Shannon, sostuvo que en el acuerdo se establece claramente que el gobierno de reconciliación en una cosa y el tema de la restitución es otra, razón por la cual el problema debe ser tratado a nivel nacional sin la intervención internacional.

Hondudiario

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Zelaya rompt l’Accord de Tegucigalpa / San José et fait une interprétation personnelle des termes de l’Accord

Zelaya se refuse à intégrer le gouvernement d'Unité Nationale

L'ex président Manuel Zelaya et ses conseillers ont convenu de s'abstenir de participer au Gouvernement d'Unité et de Réconciliation si, avant que celui-ci soit constitué, le Congrès national ne le restitue pas dans ses fonctions. Ceci a été communiqué par un de ses alliés les plus fidèles Rassel Tomé, qui reste à ses cotés dans l'ambassade du Brésil.

Tomé, a déclaré à la presse, que pour qu'il y ait un gouvernement de réconciliation il doit y avoir un président, car s'il n'y en a pas, "qui fera prêter serment aux nouveaux ministres?".

Il a expliqué que Zelaya s'est réuni jeudi, avec ses conseillers et a décidé de ne pas présenter de candidats pour les différents ministères, comme le lui a demandé le président, Roberto Micheletti, afin de se conformer à l'Accord de Tegucigalpa / San José.

D'autre part, il a déclaré que l'un des points de l'accord stipule que "l'on doit ramener la situation du Pouvoir Exécutif à ce qu'elle était avant le 28 Juin, jour du coup d'État, ce qui signifie tout simplement rétablir le président Zelaya" avant de commencer la formation du gouvernement "d'Unité et Réconciliation".

En ce sens, il a argumenté que le délai pour rétablir le président déchu expire jeudi 05.11.2009 00:00, c'est pour cela qu'ils attendent que le Congrès, décide de la restitution le plus rapidement possible.

Toutefois, le secrétaire adjoint du Département d'État Thomas Shannon, a soutenu que l'accord stipule clairement que le gouvernement de réconciliation est une chose et la question de la restitution est autre chose, raison pour laquelle le problème doit être résolu au niveau national sans intervention internationale.

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