“Únicamente queda que los hondureños cumplan con el deber patriótico de acudir a las urnas, todo está listo para que las elecciones se lleven a cabo el domingo próximo” dijo hoy el magistrado del Tribunal Supremo Electoral, TSE, Enrique Ortéz Sequeira.
El domingo en un acto simbólico juramentaremos, en un centro electoral no determinado, a los delegados de mesas y simbólicamente extenderemos el acto para tomar promesa de ley a los 200 mil funcionarios electorales que participan en el proceso a nivel nacional, indicó Ortéz Sequeira.
Los 15,260 centros electorales ya cuentan con toda la logística, las 41,495 urnas serán instaladas adecuadamente, las maletas electorales ya se encuentran en su destino en un 99 por ciento, indicó el magistrado.
“Ahora sólo queda que los hondureños vayan a votar y yo creo que acudirán masivamente, creo que acudirán más que en otros procesos” estableció el alto funcionario.
En la elección pasada el abstencionismo legó a 48 por ciento.
“Es la definición del destino de Honduras, estamos empeñados en darle transparencia al proceso y hemos instalado un sistema único de observación virtual, creo que aunque la OEA no quiera mandar observadores este será el proceso más observado en la historia de Honduras y eso es bueno, porque lo haremos por nuestros hijos, porque deseamos vivir en paz y democracia ” reafirmó.
El domingo en un acto simbólico juramentaremos, en un centro electoral no determinado, a los delegados de mesas y simbólicamente extenderemos el acto para tomar promesa de ley a los 200 mil funcionarios electorales que participan en el proceso a nivel nacional, indicó Ortéz Sequeira.
Los 15,260 centros electorales ya cuentan con toda la logística, las 41,495 urnas serán instaladas adecuadamente, las maletas electorales ya se encuentran en su destino en un 99 por ciento, indicó el magistrado.
“Ahora sólo queda que los hondureños vayan a votar y yo creo que acudirán masivamente, creo que acudirán más que en otros procesos” estableció el alto funcionario.
En la elección pasada el abstencionismo legó a 48 por ciento.
“Es la definición del destino de Honduras, estamos empeñados en darle transparencia al proceso y hemos instalado un sistema único de observación virtual, creo que aunque la OEA no quiera mandar observadores este será el proceso más observado en la historia de Honduras y eso es bueno, porque lo haremos por nuestros hijos, porque deseamos vivir en paz y democracia ” reafirmó.
Unos 300 observadores, entre ellos ex presidentes y líderes del mundo han llegado a Tegucigalpa para participar en la vigilancia del proceso electoral. Representan a 36 países del planeta.
Se han acreditado 200 observadores nacionales que provienen de organizaciones de sociedad civil y entes independientes.
Más 200 medios de comunicación internacionales se han acreditado y al menos el doble de locales.
El bloque albista y sus comparsas Argentina, Brasil y el propio secretario de la OEA, Miguel Insulza siguen con su política intervencionista. Brasil incluso se atrevió a solicitarle a un tercer país, (Estados Unidos), la posposición de las elecciones hondureñas por al menos dos semanas.
Otros países entre ellos Estados Unidos, Italia, Colombia, Perú, Canadá y Panamá han decidido respaldar y observar el proceso como una salida a la crisis hondureña y la única vía para recobrar la vida democrática y la paz en este país.
Los cinco partidos políticos legalmente constituidos en el país participan en el proceso electoral. Los hondureños elegirán al presidente y sus tres designados (vice presidentes); 128 diputados al Congreso Nacional y a igual número de suplentes y 298 alcaldes y sus corporaciones municipales.
Se han acreditado 200 observadores nacionales que provienen de organizaciones de sociedad civil y entes independientes.
Más 200 medios de comunicación internacionales se han acreditado y al menos el doble de locales.
El bloque albista y sus comparsas Argentina, Brasil y el propio secretario de la OEA, Miguel Insulza siguen con su política intervencionista. Brasil incluso se atrevió a solicitarle a un tercer país, (Estados Unidos), la posposición de las elecciones hondureñas por al menos dos semanas.
Otros países entre ellos Estados Unidos, Italia, Colombia, Perú, Canadá y Panamá han decidido respaldar y observar el proceso como una salida a la crisis hondureña y la única vía para recobrar la vida democrática y la paz en este país.
Los cinco partidos políticos legalmente constituidos en el país participan en el proceso electoral. Los hondureños elegirán al presidente y sus tres designados (vice presidentes); 128 diputados al Congreso Nacional y a igual número de suplentes y 298 alcaldes y sus corporaciones municipales.
Fuente : Proceso Digital
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“Tout est prêt pour les élections, il reste uniquement aux Honduriens qu'ils remplissent leur devoir patriotique”
“Il reste uniquement aux Honduriens qu'ils remplissent leur devoir patriotique de voter, tout est prêt pour que les élections se réalisent dimanche prochain” a exprimé Enrique Ortéz Sequeira magistrat du Tribunal Suprême Électoral.
Dimanche lors d'un acte symbolique nous ferons prêter serment, dans un centre électoral que nous n'avons pas encore déterminé, aux délégués des bureaux électoraux et nous étendrons symboliquement la cérémonie recueillir la promesse sur l'honneur des 200 mille fonctionnaires électoraux qui participent au processus au niveau national, a expliqué Ortéz Sequeira.
Les 15.260 centres électoraux disposent déjà de toute la logistique, les 41.495 urnes seront convenablement installées, les valises électorales se trouvent déjà à 99 pour cent sur les lieux de vote, a indiqué le magistrat.
“Maintenant il reste seulement que les Honduriens aillent voter et je crois qu'ils viendront massivement voter, je crois qu'ils seront plus nombreux que lors d'autres élections”.
Lors des dernières élection l'abstentionnisme avait atteint 48 pour cent.
“C'est la définition du destin due Honduras, nous sommes engagés à ce que le processus électoral soit transparence et nous avons installé un système d'observation virtuelle unique, je crois que bien que l'OEA ne veuille pas envoyer des observateurs ce sera le processus le plus observé dans l'histoire du Honduras et c'est bien, car nous le ferons pour nos enfants, parce que nous désirons vivre en paix et démocratie” il a réaffirmé.
Dimanche lors d'un acte symbolique nous ferons prêter serment, dans un centre électoral que nous n'avons pas encore déterminé, aux délégués des bureaux électoraux et nous étendrons symboliquement la cérémonie recueillir la promesse sur l'honneur des 200 mille fonctionnaires électoraux qui participent au processus au niveau national, a expliqué Ortéz Sequeira.
Les 15.260 centres électoraux disposent déjà de toute la logistique, les 41.495 urnes seront convenablement installées, les valises électorales se trouvent déjà à 99 pour cent sur les lieux de vote, a indiqué le magistrat.
“Maintenant il reste seulement que les Honduriens aillent voter et je crois qu'ils viendront massivement voter, je crois qu'ils seront plus nombreux que lors d'autres élections”.
Lors des dernières élection l'abstentionnisme avait atteint 48 pour cent.
“C'est la définition du destin due Honduras, nous sommes engagés à ce que le processus électoral soit transparence et nous avons installé un système d'observation virtuelle unique, je crois que bien que l'OEA ne veuille pas envoyer des observateurs ce sera le processus le plus observé dans l'histoire du Honduras et c'est bien, car nous le ferons pour nos enfants, parce que nous désirons vivre en paix et démocratie” il a réaffirmé.
Environ 300 observateurs, entre eux les ex-présidents et les leaders du monde sont arrivés à Tegucigalpa pour participer à la surveillance du processus électoral. Ils représentent 36 pays de la planète.
200 observateurs nationaux ont été accrédités, provenant d'organisations de société civile et d'organismes indépendants.
Plus de 200 médias internationaux et au moins le double de locaux ont été accrédités .
Le bloc de l'ALBA et ses figurants l'Argentine, le Brésil et le propre secrétaire de l'OEA, Miguel Insulza continuent leur politique interventionniste. Même le Brésil a osé demander à un troisième pays, (les États-Unis), de retarder les élections honduriennes pour au moins deux semaines.
Des pays comme les États-Unis, l'Italie, la Colombie, le Pérou, le Canada et le Panama ont décidé de soutenir et d'observer le processus électoral car c'est la sortie de crise hondurienne et l'unique voie pour recouvrer la vie démocratique et la paix dans ce pays.
Les cinq partis politiques légalement constitués dans le pays participent au processus électoral. Les Honduriens choisiront le président et ses trois vice présidents; 128 députés au Congrès National et un nombre égal de suppléants ainsi que 298 maires et ses corporations municipales.
200 observateurs nationaux ont été accrédités, provenant d'organisations de société civile et d'organismes indépendants.
Plus de 200 médias internationaux et au moins le double de locaux ont été accrédités .
Le bloc de l'ALBA et ses figurants l'Argentine, le Brésil et le propre secrétaire de l'OEA, Miguel Insulza continuent leur politique interventionniste. Même le Brésil a osé demander à un troisième pays, (les États-Unis), de retarder les élections honduriennes pour au moins deux semaines.
Des pays comme les États-Unis, l'Italie, la Colombie, le Pérou, le Canada et le Panama ont décidé de soutenir et d'observer le processus électoral car c'est la sortie de crise hondurienne et l'unique voie pour recouvrer la vie démocratique et la paix dans ce pays.
Les cinq partis politiques légalement constitués dans le pays participent au processus électoral. Les Honduriens choisiront le président et ses trois vice présidents; 128 députés au Congrès National et un nombre égal de suppléants ainsi que 298 maires et ses corporations municipales.
Source : Proceso Digital
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