mardi 24 novembre 2009

Estados Unidos sobre Honduras: “Las elecciones del 29 de noviembre son hijas de las leyes electorales del país”

Castellano - Article en Français par Honduras Démocratique

Cuando se acerca el 29 de noviembre, fecha prevista para las elecciones en Honduras, las posiciones empiezan a clarificarse. Lo más esclarecedor han sido las declaraciones del responsable para América Latina, Arturo Valenzuela.

Afirma que el proceso electoral del 29 de noviembre no es hijo del Gobierno de facto “sino de las leyes electorales del país” Ya era hora. Porque efectivamente, el 29N no nace del capricho del Gobierno Micheletti, sino que el inicio del proceso arranca en la época de Zelaya.

Y las primarias producidas en el país hace un año contaron con observadores de la OEA que señalaron que el proceso había sido limpio. Por eso y porque el Congreso y la Corte Suprema es exactamente la misma, no se puede hablar de golpe de Estado. Y menos militar. Más bien hay una sucesión constitucional.

En todo caso, ningún zelayista ha explicado cómo se sale de una crisis como la que vive el país si no es mediante unas elecciones. Por eso Estados Unidos junto a Panamá han reconocido los resultados del 29N. Zelaya se ha quedado con la brocha en la mano. Y Zapatero también. Porque si finalmente la administración Obama reconoce las elecciones. ¿Qué va a hacer España, colocarse en el lado del radicalismo chavista?

Por lo demás, Micheletti señala a Reuters que “es poco probable que haya una restitución de Zelaya”. Y es que la restitución tiene que ser aprobada por el Congreso. La patata caliente está en el Partido Nacional. Y las encuestas internas señalan -tal y como hemos informado- que si votasen por la restitución caían en 22 puntos. Así que esperamos que la situación se normalice. Por el bien de Honduras, de los hondureños y de la región.

Fuente : Hispanidad
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Français
Les États-Unis au sujet du Honduras : “Les élections du 29 novembre sont le résultat des lois électorales du pays”

Quand s'approche le 29 novembre, date prévue pour les élections au Honduras, les positions commencent à se clarifier. Ce qui a apporté le plus d'éclaircissement, furent les déclarations du responsable pour l'Amérique Latine, Arturo Valenzuela.

Il affirme que le processus électoral du 29 novembre n'est pas le résultat du Gouvernement de fait “mais des lois électorales du pays”. Il était temps. Car effectivement, les élections du 29 novembre ne naîssent pas du caprice du Gouvernement Micheletti, car le commencement du processus électoral démarre à l'époque de Zelaya.

Les primaires qu'il y a eu dans le pays ont été vérifié, il y a un an, par des observateurs de l'OEA qui ont remarqué que le processus avait été transparent. Pour cela et parce que le Congrès et la Cour Suprême sont exactement les même, on ne peut pas parler d'un coup d'État. Et encore moins militaire. Il y a plutôt eu une succession constitutionnelle.

En tout cas, aucun zelayista n'a expliqué comment l'ont sort d'une crise comme celle que vit le pays, si ce n'est grâce à des élections. C'est pourquoi les États-Unis ainsi que le Panama ont reconnu les résultats du 29 novembre.

Zelaya en reste Gros-Jean comme devant. Zapatero aussi. Car si finalement l'administration Obama reconnaît les élections, Que va faire l'Espagne ? Se placer du côté du radicalisme chaviste ?

Cela dit, Micheletti a expliqué à Reuters “qu'il est peu probable qu'il y ait une restitution de Zelaya”. La restitution doit être approuvée par le Congrès. La balle est dans le camp du Parti National. Les enquêtes internes signalent que s'ils votaient pour la restitution, ils perdraient 22 points dans les sondages. Nous espérons que la situation se normalise, pour le bien du Honduras, des honduriens et de la région.

Source : Hispanidad


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