El diplomático responsabilizó a los países que apoyaron el ingreso de Zelaya al país para refugiarse en la embajada de Brasil
El retorno clandestino del presidente hondureño Manuel Zelaya a su país fue "irresponsable" y no sirve a los intereses de su pueblo, declaró este lunes 28.09.2009 el representante alterno estadounidense ante la Organización de Estados Americanos, Lewis Amselem.
"El retorno del presidente Zelaya a Honduras es irresponsable y no sirve ni a los intereses de su pueblo ni a aquellos que buscan el reestablecimiento pacífico del orden democrático en Honduras", dijo Amselem durante un Consejo Permanente de la OEA, reunido en sesión extraordinaria.
Amselem dijo que el regreso de Zelaya a Honduras "no ha servido" a los esfuerzos diplomáticos para resolver la crisis hondureña, que lleva casi tres meses, tras la sustitución constitucional de Manuel Zelaya el pasado 28 de Junio.
"El regreso fue irresponsable" dijo Amselem, quien hizo extensiva tal actitud a los países que permitieron el lunes pasado el retorno de Zelaya a Honduras, refugiado en la Embajada de Brasil en Tegucigalpa.
"Los que facilitaron el retorno del presidente Zelaya tienen una especial responsabilidad para prevenir la violencia y el bienestar del pueblo hondureño", explicó el diplomático, sin dar más detalles.
La declaración del diplomático supuso un cambio de nuevo en la política estadounidense ante la crisis hondureña.
"El presidente Zelaya debería ejercer liderazgo y pedir a sus seguidores que expresen sus puntos de vista pacíficamente", sugirió el representante alterno ante la OEA.
"El pueblo de Honduras está sufriendo", denunció Amselem.
Fuente : La Prensa y El Heraldo
El retorno clandestino del presidente hondureño Manuel Zelaya a su país fue "irresponsable" y no sirve a los intereses de su pueblo, declaró este lunes 28.09.2009 el representante alterno estadounidense ante la Organización de Estados Americanos, Lewis Amselem.
"El retorno del presidente Zelaya a Honduras es irresponsable y no sirve ni a los intereses de su pueblo ni a aquellos que buscan el reestablecimiento pacífico del orden democrático en Honduras", dijo Amselem durante un Consejo Permanente de la OEA, reunido en sesión extraordinaria.
Amselem dijo que el regreso de Zelaya a Honduras "no ha servido" a los esfuerzos diplomáticos para resolver la crisis hondureña, que lleva casi tres meses, tras la sustitución constitucional de Manuel Zelaya el pasado 28 de Junio.
"El regreso fue irresponsable" dijo Amselem, quien hizo extensiva tal actitud a los países que permitieron el lunes pasado el retorno de Zelaya a Honduras, refugiado en la Embajada de Brasil en Tegucigalpa.
"Los que facilitaron el retorno del presidente Zelaya tienen una especial responsabilidad para prevenir la violencia y el bienestar del pueblo hondureño", explicó el diplomático, sin dar más detalles.
La declaración del diplomático supuso un cambio de nuevo en la política estadounidense ante la crisis hondureña.
"El presidente Zelaya debería ejercer liderazgo y pedir a sus seguidores que expresen sus puntos de vista pacíficamente", sugirió el representante alterno ante la OEA.
"El pueblo de Honduras está sufriendo", denunció Amselem.
Fuente : La Prensa y El Heraldo
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Les USA accusent Zelaya d'aggraver la crise
L'ambassadeur a rejeté la responsabilité de l'aggravation de la crise sur les pays qui ont soutenu l'entrée de Zelaya dans le pays, pour se réfugier dans l'ambassade du Brésil.
Le retour clandestin de Manuel Zelaya dans son pays a été "irresponsable" et ne sert pas les intérêts de son peuple, a déclaré lundi 28.09.20090 Lewis Amselem, le représentant suppléant des États-Unis à l'Organisation des États américains.
"Le retour du Président Zelaya au Honduras est irresponsable et ne sert ni les intérêts de son peuple ni de ceux qui cherchent le rétablissement pacifique de l'ordre démocratique au Honduras", a déclaré Amselem, lors du Conseil permanent de l'OEA, réunie en session extraordinaire.
Amselem a déclaré que le retour de Zelaya au Honduras "n'a pas servi" les efforts diplomatiques qui depuis presque trois mois travaillent pour résoudre la crise au Honduras, depuis qu'a eu lieu la succession constitutionnelle de Manuel Zelaya le 28 juin dernier.
"Le retour a été irresponsable", a déclaré Amselem, tout comme irresponsable l'attitude des pays qui lundi dernier ont permis le retour de Zelaya au Honduras.
"Ceux qui ont facilité le retour du Président Zelaya ont une responsabilité particulière pour prévenir la violence et le bien-être du peuple hondurien," a déclaré le diplomate, sans autres précisions supplémentaires.
La déclaration du diplomate a marqué un nouveau changement de la politique américaine face à la crise du Honduras.
"Le président Zelaya devraient faire preuve de leadership et demander à ses partisans d'exprimer leurs opinions pacifiquement", a suggéré le représentant suppléant de l'OEA.
"Le peuple du Honduras est en souffrance", a dénoncé Amselem.
Source : La Prensa et El Heraldo
Le retour clandestin de Manuel Zelaya dans son pays a été "irresponsable" et ne sert pas les intérêts de son peuple, a déclaré lundi 28.09.20090 Lewis Amselem, le représentant suppléant des États-Unis à l'Organisation des États américains.
"Le retour du Président Zelaya au Honduras est irresponsable et ne sert ni les intérêts de son peuple ni de ceux qui cherchent le rétablissement pacifique de l'ordre démocratique au Honduras", a déclaré Amselem, lors du Conseil permanent de l'OEA, réunie en session extraordinaire.
Amselem a déclaré que le retour de Zelaya au Honduras "n'a pas servi" les efforts diplomatiques qui depuis presque trois mois travaillent pour résoudre la crise au Honduras, depuis qu'a eu lieu la succession constitutionnelle de Manuel Zelaya le 28 juin dernier.
"Le retour a été irresponsable", a déclaré Amselem, tout comme irresponsable l'attitude des pays qui lundi dernier ont permis le retour de Zelaya au Honduras.
"Ceux qui ont facilité le retour du Président Zelaya ont une responsabilité particulière pour prévenir la violence et le bien-être du peuple hondurien," a déclaré le diplomate, sans autres précisions supplémentaires.
La déclaration du diplomate a marqué un nouveau changement de la politique américaine face à la crise du Honduras.
"Le président Zelaya devraient faire preuve de leadership et demander à ses partisans d'exprimer leurs opinions pacifiquement", a suggéré le représentant suppléant de l'OEA.
"Le peuple du Honduras est en souffrance", a dénoncé Amselem.
Source : La Prensa et El Heraldo
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