La crisis política del país toma otro rumbo. Las últimas manifestaciones a nivel internacional abren una luz al final del túnel. El camino hacia una solución definitiva se podría registrar en los siguientes días.
La situación dio un giro favorable para encontrar una solución definitiva.
En primer lugar, el presidente Óscar Arias consideró como un error el aislar a Honduras. "Lo peor que le puede pasar a la comunidad internacional es querer aislar al gobierno de facto, más bien debemos estar en comunicación con él, que escuche nuestros consejos"
También instó a que los demás líderes latinoamericanos no contribuyan a "atizar el fuego".
En segundo lugar, en la Organización de Estados Americanos (OEA) Estados Unidos, Canadá, Bahamas, Costa Rica y Perú se abstuvieron de determinar cuál será su posición sobre el resultado de las elecciones presidenciales en Honduras, posición que impidió una la nueva condena contra este país que buscaban Argentina, Venezuela y Nicaragua, gobiernos que insistían en la inclusión de un artículo en el que se dejara claro que la Organización de Estados Americanos, OEA, no reconocería el proceso electoral que se avecina si éste no es liderado por el ex mandatario Manuel Zelaya en la presidencia. Brasil propuso remitir el tema a la ONU.
No hubo consenso respecto a desconocer las elecciones de noviembre próximo, es decir que la comunidad internacional podría impulsar la salida a este conflicto a través de las elecciones.
En tercer lugar, fue la revelacion de una nueva “propuesta” por el prestigioso diario norteamericano The New York Times.
Se trata del “retorno simbólico” de Manuel Zelaya a la Presidencia por un día o una hora para luego dimitir y entregar el poder a un gobierno provisional y de unidad nacional.
Según altas esferas de Washington, “el arreglo estaría sujeto a que ambas partes -Micheletti y Zelaya- estén de acuerdo en la posibilidad de suscribirlo, con la finalidad de poner un alto a la crisis política que vive el país”.
Honduras Démocratique
La situación dio un giro favorable para encontrar una solución definitiva.
En primer lugar, el presidente Óscar Arias consideró como un error el aislar a Honduras. "Lo peor que le puede pasar a la comunidad internacional es querer aislar al gobierno de facto, más bien debemos estar en comunicación con él, que escuche nuestros consejos"
También instó a que los demás líderes latinoamericanos no contribuyan a "atizar el fuego".
En segundo lugar, en la Organización de Estados Americanos (OEA) Estados Unidos, Canadá, Bahamas, Costa Rica y Perú se abstuvieron de determinar cuál será su posición sobre el resultado de las elecciones presidenciales en Honduras, posición que impidió una la nueva condena contra este país que buscaban Argentina, Venezuela y Nicaragua, gobiernos que insistían en la inclusión de un artículo en el que se dejara claro que la Organización de Estados Americanos, OEA, no reconocería el proceso electoral que se avecina si éste no es liderado por el ex mandatario Manuel Zelaya en la presidencia. Brasil propuso remitir el tema a la ONU.
No hubo consenso respecto a desconocer las elecciones de noviembre próximo, es decir que la comunidad internacional podría impulsar la salida a este conflicto a través de las elecciones.
En tercer lugar, fue la revelacion de una nueva “propuesta” por el prestigioso diario norteamericano The New York Times.
Se trata del “retorno simbólico” de Manuel Zelaya a la Presidencia por un día o una hora para luego dimitir y entregar el poder a un gobierno provisional y de unidad nacional.
Según altas esferas de Washington, “el arreglo estaría sujeto a que ambas partes -Micheletti y Zelaya- estén de acuerdo en la posibilidad de suscribirlo, con la finalidad de poner un alto a la crisis política que vive el país”.
Honduras Démocratique
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Pour le Honduras, "La lumière est-elle au bout du tunnel" ?
La crise politique du Honduras prend une autre tournure. Les récents événements internationaux laissent apparaitre une lumière au bout du tunnel. On s'achemine vers une solution qui pourrait être connue dans les jours qui viennent.
La situation a pris une tourne favorable pour que l'on aboutisse à une solution définitive.
Dans un premier temps, le Président Óscar Arias considère comme une erreur d'isoler le Honduras. "Le pire qui puisse arriver à la communauté internationale c'est de vouloir isoler le gouvernement de facto, nous devrions plutôt être en communication avec lui, qu'il écoute nos conseils"
Il a également exhorté les autres dirigeants latino-américains à ce qu'ils ne contribuent pas à "attiser le feu".
Dans un deuxième temps, dans l'Organisation des États américains (OEA), les États-Unis, le Canada, les Bahamas, le Costa Rica et le Pérou se sont abstenus de déterminer quelle serait leur position sur l'issue de l'élection présidentielle au Honduras, une position qui a empêché une nouvelle condamnation pour ce pays, qui a été demandé par l'Argentine, le Venezuela et le Nicaragua. Ces gouvernements insistent sur l'insertion d'un article qui indique clairement que l'Organisation des États Américains ne reconnaîtrait pas le processus électoral à venir si elle n'est pas dirigée par l'ex-président Manuel Zelaya en tant que Président. Le Brésil a proposé de renvoyer la question à l'ONU.
Il n'y eu pas de consensus pour ignorer les élections de Novembre, ce qui signifie que la communauté internationale pourrait promouvoir une solution à ce conflit à travers des élections.
Et dans un troisième temps, le prestigieux journal américain The New York Times a révélé une nouvelle "proposition" .
Ce serait le "retour symbolique" de Manuel Zelaya à la présidence, pour une journée ou une heure, puis il démissionnerai et de transférerai le pouvoir à un gouvernement provisoire d'unité nationale.
Selon les hautes sphères de Washington "l'accord serait soumis aux deux parties - Micheletti et Zelaya - et si les deux parties sont d'accord sur cette "possibilité" cela pourrait mettre un terme à la crise politique dans le pays."
Honduras Démocratique
La situation a pris une tourne favorable pour que l'on aboutisse à une solution définitive.
Dans un premier temps, le Président Óscar Arias considère comme une erreur d'isoler le Honduras. "Le pire qui puisse arriver à la communauté internationale c'est de vouloir isoler le gouvernement de facto, nous devrions plutôt être en communication avec lui, qu'il écoute nos conseils"
Il a également exhorté les autres dirigeants latino-américains à ce qu'ils ne contribuent pas à "attiser le feu".
Dans un deuxième temps, dans l'Organisation des États américains (OEA), les États-Unis, le Canada, les Bahamas, le Costa Rica et le Pérou se sont abstenus de déterminer quelle serait leur position sur l'issue de l'élection présidentielle au Honduras, une position qui a empêché une nouvelle condamnation pour ce pays, qui a été demandé par l'Argentine, le Venezuela et le Nicaragua. Ces gouvernements insistent sur l'insertion d'un article qui indique clairement que l'Organisation des États Américains ne reconnaîtrait pas le processus électoral à venir si elle n'est pas dirigée par l'ex-président Manuel Zelaya en tant que Président. Le Brésil a proposé de renvoyer la question à l'ONU.
Il n'y eu pas de consensus pour ignorer les élections de Novembre, ce qui signifie que la communauté internationale pourrait promouvoir une solution à ce conflit à travers des élections.
Et dans un troisième temps, le prestigieux journal américain The New York Times a révélé une nouvelle "proposition" .
Ce serait le "retour symbolique" de Manuel Zelaya à la présidence, pour une journée ou une heure, puis il démissionnerai et de transférerai le pouvoir à un gouvernement provisoire d'unité nationale.
Selon les hautes sphères de Washington "l'accord serait soumis aux deux parties - Micheletti et Zelaya - et si les deux parties sont d'accord sur cette "possibilité" cela pourrait mettre un terme à la crise politique dans le pays."
Honduras Démocratique
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