jeudi 17 septembre 2009

Lamentablemente M.Zelaya sigue llamando a la desobediencia civil

Castellano - Article en Français par Honduras Démocratique

Manuel Zelaya, hizo desde Managua un llamamiento a los hondureños a no participar en las elecciones generales del 29 de noviembre en Honduras.

"No se debe participar en ninguna actividad electoral hasta que esté de nuevo al frente del Gobierno de la República" de Honduras, exhortó Zelaya a los hondureños a través de un comunicado difundido por la embajada Honduras en Managua.

M.Zelaya dijo que no se puede participar en esos comicios porque no se garantiza igualdad de oportunidades, ni que se vaya a respetar la voluntad del pueblo, y porque "el presidente está desterrado".

"Imagínense, entonces, cualquier grupo organizado puede dar un golpe de Estado militar en cualquier país del mundo y después llamar a elecciones y quedarse en el poder", alegó.

"Después del golpe de Estado militar la democracia que teníamos fue sustituida por una tiranía, en la que los golpistas tienen el control de todos los poderes del Estado y de todas las instituciones", dijo el ex presidente.

Subrayó que Estados Unidos, la Unión Europea y la ONU han enviado "mensajes claros a los golpistas para que devuelvan el poder al Gobierno legítimo de Honduras".

Asimismo, Zelaya ratificó su "decisión firme de aceptar plenamente" la propuesta que en su calidad de mediador presentó el presidente de Costa Rica, Óscar Arias, conocida como el Acuerdo de San José, destinada a solucionar la crisis en su país.

En una carta a la secretaria de Estado de EE.UU., Hillary Clinton, agregó Zelaya, le propuso firmar el Acuerdo de San José en Tegucigalpa ante los cancilleres y representantes de la Organización de Estados Americanos (OEA) y la ONU, como testigos de honor.

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Français
Il est lamentable de voir que Zelaya continue d'appeler à la désobéissance civile

De Managua ou il réside, Manuel Zelaya a appelé les honduriens à ne pas participer aux élections générales du 29 Novembre, au Honduras.

"Il ne doit pas y avoir de participation électorale jusqu'à ce que je sois de retour à la tête du Gouvernement de la République du Honduras", a déclaré M.Zelaya aux Honduriens, à travers un communiqué publié par l'ambassade du Honduras à Managua.

M. Zelaya a dit qu'il est impossible de participer aux élections parce qu'il n'y a aucune garantie d'égalité des chances, que la volonté du peuple ne serait pas respectée, et parce que "le président à été banni".

Et d'ajouter : "Imaginez un peu, n'importe quel groupe organisé peut faire un coup d'État militaire dans n'importe quel pays du monde, déclencher des élections et rester au pouvoir",

"Après le coup d'État militaire, la démocratie que nous connaissions a été remplacée par une tyrannie. Les insurgés ont le contrôle de tous les pouvoirs de l'état, ainsi que de toutes ses institutions".

Il a souligné que les États-Unis, l'Union européenne et l'ONU ont envoyé des "messages clairs au "putschistes" pour que soit restauré au pouvoir le gouvernement légitime du Honduras. "

M. Zelaya a également confirmé sa "ferme décision d'accepter pleinement" la proposition du médiateur Oscar Arias, appelé accord de San José, et qui vise à résoudre la crise dans son pays.

Dans une lettre à la Secrétaire d'État, Hillary Clinton, M. Zelaya, a proposé de signer l'accord de San José à Tegucigalpa, devant les Ministres des Affaires Étrangères et les représentants de l'Organisation des États Américains (OEA) et l'ONU, qui seraient là, en tant que témoins d'honneur.

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