jeudi 3 septembre 2009

Zelaya se reúne con Hillary Clinton. En Washington los Catrachos lo reciben con protestas

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Zelaya, quien lleva insistiendo más de dos meses (66 días) en la necesidad de que EE UU aumente la presión sobre el Gobierno de Roberto Micheletti, espera que Clinton declare lo ocurrido el 28 de junio como un golpe militar y condene de forma contundente las violaciones a los derechos humanos que comete el Gobierno de facto en su país.

El ex presidente Manuel Zelaya Rosales enfrentó ayer masivas protestas en Washington, ciudad a la que se ha trasladado para promover medidas que afecten a los hondureños.

Zelaya llegó a Washington el pasado lunes para sostener una reunión con el Consejo Permanente de la Organización de Estados Americanos (OEA).
Al finalizar la reunión, José Miguel Insulza, secretario de la OEA, admitió que se marcha una solución a la crisis que puede tomar varios meses.

El depuesto presidente de Honduras, Manuel Zelaya, se reúne hoy con la secretaria de Estado, Hillary Clinton, en un momento en que EE UU estudia declarar si el 28 de junio hubo o no un golpe militar.

La presencia de hondureños en las afueras de la Universidad George Washington se debió además para manifestar el apoyo al gobierno de Roberto Micheletti, la defensa de democracia y de la Constitución.

Entre algunas de las leyendas que gritaban los catrachos destacan: "Honduras dice no a las dictaduras", "Zelaya, por qué temes al sistema de justicia de Honduras", "Cómo pronuncias Zelaya en inglés Ze’liar’ (mentiroso)".

Entre tanto, el ex mandatario ha expresado que "esperamos que en las próximas horas no solo la declaratoria de golpe de Estado del Departamento de Estado, sino (que también la condena) contra la violación de los derechos humanos sean totalmente contundentes y evidentes", indicó Zelaya.

La calificación jurídica de que hubo un golpe militar en Honduras obligaría al Gobierno de EE UU a suspender formalmente toda la asistencia, conforme a la ley estadounidense.
Esa determinación significaría la suspensión de las ayudas de la Millennium Challenge Corporation (MCC), que suscribió en 2005 un convenio de cinco años con Tegucigalpa por 215 millones de dólares.
Hasta la fecha, la MCC ha desembolsado 80,3 millones de dólares a Honduras bajo ese convenio.
Los restantes 135 millones de dólares no podrían ser entregados al país centroamericano bajo esa calificación.

Todo indica que Zelaya está empecinado en que Estados Unidos aplique más medidas que afecten a la población hondureña.
Según el, EE UU ha impulsado varias presiones contra Honduras, pero “hay muchas otras cosas que hacer”.

¿Se habrá olvidado Zelaya las criticas que hacia al gobierno de B.Obama mientras estuvo en el poder?
¿Quiere Zelaya al Pueblo hondureño o solo le interesa volver, cualquiera sea el precio que para ello tenga que pagar el Pueblo de Honduras ?

Honduras reitera sur firmeza rechazando;
• la corrupción,
• el dominio absoluto de H.Chávez sobre Honduras,
• la reforma de la Constitución para permitir el continuismo de la función presidencial.

Artículo por Honduras Démocratique

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H.Clinton reçoit M.Zelaya pendant que les Catrachos le reçoivent en protestant

Voilà maintenant plus de deux mois (66 jours) que Zelaya, i insiste pour que les États-Unis accroissent la pression sur le gouvernement de M. Roberto Micheletti espère que H. Clinton déclare que les événements de Juin 28, furent un Coup d'État militaire et condamne avec force les violations des Droits de l'Homme commise par le gouvernement en exercice dans son pays.

L'ancien président Manuel Zelaya Rosales, a du faire face à de massives protestations à Washington ville dans laquelle il se trouve pour demander des mesures sans cesse plus fortes qui affecteraient les Honduriens.

Zelaya est arrivé à Washington lundi pour une réunion avec le Conseil permanent de l'Organisation des États américains (OEA).
Après la réunion, José Miguel Insulza, secrétaire de l'OEA a admis qu'il semble y avoir une solution à la crise, mais que celle-ci pourrait prendre plusieurs mois.

L'ex-président doit se réunir aujourd'hui avec la secrétaire d'Etat, Hillary Clinton, à un moment où les autorités américaines étudient les faits du 28 Juin pour déterminer s'il y a eu ou non un Coup d'État militaire.

La présence de Hondurien à l'extérieur de l'Université George Washington avait pour but d'exprimer leur soutien au gouvernement de Roberto Micheletti, à la défense de la démocratie et de la Constitution.

Parmi les slogans que criaient les Catrachos l'on pouvait entendre: "Honduras dit non à la dictature", "Zelaya, pourquoi crains-tu la justice du Honduras», «Comment prononce-t-on Zelaya en anglais: Ze'liar = menteur".

L'ex-président a déclaré "nous espérons que dans les prochaines heures le Département d'État annonce qu'il y a eu un Coup d'état militaire au Honduras, mais aussi la condamnation contre la violation des Droits de l'Homme".

Si les faits du 28 juin sont juridiquement qualifies de coup d'état militaire cela forcerait le gouvernement américain à suspendre formellement toute assistance au Honduras, conformément à la loi américaine.
Cette détermination serait la suspension de l'aide du Millenium Challenge Corporation (MCC), signé en 2005, un accord de 5 ans avec Tegucigalpa pour 215 millions de dollars.
À ce jour, la MCC a déboursé 80,3 millions au Honduras au titre du présent accord.
Les 135 millions de dollars restants ne pourraient pas être débloqués si les du 28 juin étaient qualifiés de Coup d'État.

Tout semble indiquer que Zelaya face preuve d'obstination et veuille que les États-Unis appliquent davantage de mesures qui toucheraient la population hondurienne.
Selon lui, les USA ont lancé plusieurs mesures de pression contre le Honduras, mais "il y a beaucoup d'autres choses à faire."

Zelaya aime-t-il le Peuple Hondurien ou est-il seulement intéressé en revenir au pouvoir quel que soit le prix que doive payer le Peuple Hondurien?
Zelaya a-t-il oublié les critiques qu'il faisait envers le gouvernement de B. Obama lorsqu'il était au pouvoir?

Le Honduras réitère rejeter fermement ;
• la corruption,
• le contrôle absolu de H. Chavez sur Honduras,
• la réforme de la constitution permettant la continuité de la fonction présidentielle.

Article par Honduras Démocratique

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