La tarde de ayer, al considerar que la crisis política les compete solucionarla a los hondureños y no es un asunto que atente contra la paz nacional ni internacional, la Cancillería de Honduras no permitió ayer el ingreso de cuatro funcionarios de la Organización de Estados Americanos, OEA.
El canciller Carlos López Contreras informó que incluso ellos estaban advertidos de que no era el tiempo para llegar al país, por lo que no se trató de una deportación.
“Cayeron un poco de sorpresa, estaban prevenidos de que no estaba lista la oportunidad procesal para su llegada. Es de todos ustedes conocido que existe un proceso en marcha de conversaciones, de intercambios, en la búsqueda de un acuerdo a lo que llamamos ‘una solución hondureña’.
Honduras es un país cuyos habitantes tienen por costumbre sentarse en una mesa de diálogo y lograr acuerdos. Me parece, siendo éste un tema fundamentalmente interno de Honduras, que de ninguna manera pone en riesgo ni la seguridad y ni la paz internacional, que se debe dar oportunidad a que se busque un acuerdo que no ha sido sorprendente en Honduras en el pasado.
Ésa es la razón por la cual, habiendo llegado unos funcionarios claramente advertidos de que no deberían anticipar su presencia, se les instara a que regresaran. Se les dijo que oportunamente se les iba a notificar”, informó el canciller López Contreras.
Agregó que a uno de los funcionarios se le permitió quedarse por una circunstancia muy particular, ya que es un cercano colaborador de la mediación con Costa Rica.
El canciller y la vicecanciller Martha Lorena Casco aclararon que la situación no debe interpretarse como una acción para confrontar a la comunidad internacional.
Fuente : La Prensa.hn
El canciller Carlos López Contreras informó que incluso ellos estaban advertidos de que no era el tiempo para llegar al país, por lo que no se trató de una deportación.
“Cayeron un poco de sorpresa, estaban prevenidos de que no estaba lista la oportunidad procesal para su llegada. Es de todos ustedes conocido que existe un proceso en marcha de conversaciones, de intercambios, en la búsqueda de un acuerdo a lo que llamamos ‘una solución hondureña’.
Honduras es un país cuyos habitantes tienen por costumbre sentarse en una mesa de diálogo y lograr acuerdos. Me parece, siendo éste un tema fundamentalmente interno de Honduras, que de ninguna manera pone en riesgo ni la seguridad y ni la paz internacional, que se debe dar oportunidad a que se busque un acuerdo que no ha sido sorprendente en Honduras en el pasado.
Ésa es la razón por la cual, habiendo llegado unos funcionarios claramente advertidos de que no deberían anticipar su presencia, se les instara a que regresaran. Se les dijo que oportunamente se les iba a notificar”, informó el canciller López Contreras.
Agregó que a uno de los funcionarios se le permitió quedarse por una circunstancia muy particular, ya que es un cercano colaborador de la mediación con Costa Rica.
El canciller y la vicecanciller Martha Lorena Casco aclararon que la situación no debe interpretarse como una acción para confrontar a la comunidad internacional.
Fuente : La Prensa.hn
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Les membres de l'OEA invités à repartir du Honduras
Hier après-midi, estimant que la crise politique doit être résolue par les Honduriens et que ce n'est pas une question qui met en danger la paix nationale ou internationale, le Ministère des Affaires étrangères du Honduras n'a pas autorisé l'entrée sur le territoire hondurien de quatre fonctionnaires de l'Organisation des États américains.
Le Ministre des Affaires étrangères Carlos Lopez Contreras a mentionné qu'ils ont été avertis que ce n'était pas le moment de venir au Honduras, et que le refus de les laisser entrer dans le pays ne doit pas être considéré comme une expulsion.
"Ils sont arrivé un peu par surprise, ils étaient prévenus que le moment n'était pas opportun pour les recevoir. Il est de notoriété publique qu'il y a un processus qui est en marche, un processus de débats, de conversations dans le but de trouver un accord, que nous appelons 'une solution hondurienne' .
Le Honduras est un pays dont les habitants ont pour coutume de s'asseoir à une table des négociations et conclure des accords. Je pense que ceci est essentiellement un problème interne du Honduras, qui ne compromet en aucun cas la sécurité ou la paix internationale, qu'il doit y avoir une opportunité à la recherche d'un accord.
C'est pourquoi, les fonctionnaires de l'OEA ont été invité à repartir, car ils avaient été clairement avertis qu'ils ne devaient en aucun cas anticiper leur présence dans le pays. On leur avait dit qu'ils seraient avertis lorsque le moment de leur visite serait opportun" a déclaré le Ministre López Contreras.
Il a ajouté qu'un fonctionnaire a cependant été autorisé à séjourner pour une raison très spécifique, car il est un proche collaborateur de la médiation avec le Costa Rica.
Le Ministre des Affaires Étrangères et le Vice Ministre des Affaires Étrangères Martha Lorena Casco a précisé que la situation ne devrait pas être interprété comme une mesure pour provoquer la communauté internationale.
Source : La Prensa.hn
Hier après-midi, estimant que la crise politique doit être résolue par les Honduriens et que ce n'est pas une question qui met en danger la paix nationale ou internationale, le Ministère des Affaires étrangères du Honduras n'a pas autorisé l'entrée sur le territoire hondurien de quatre fonctionnaires de l'Organisation des États américains.Le Ministre des Affaires étrangères Carlos Lopez Contreras a mentionné qu'ils ont été avertis que ce n'était pas le moment de venir au Honduras, et que le refus de les laisser entrer dans le pays ne doit pas être considéré comme une expulsion.
"Ils sont arrivé un peu par surprise, ils étaient prévenus que le moment n'était pas opportun pour les recevoir. Il est de notoriété publique qu'il y a un processus qui est en marche, un processus de débats, de conversations dans le but de trouver un accord, que nous appelons 'une solution hondurienne' .
Le Honduras est un pays dont les habitants ont pour coutume de s'asseoir à une table des négociations et conclure des accords. Je pense que ceci est essentiellement un problème interne du Honduras, qui ne compromet en aucun cas la sécurité ou la paix internationale, qu'il doit y avoir une opportunité à la recherche d'un accord.
C'est pourquoi, les fonctionnaires de l'OEA ont été invité à repartir, car ils avaient été clairement avertis qu'ils ne devaient en aucun cas anticiper leur présence dans le pays. On leur avait dit qu'ils seraient avertis lorsque le moment de leur visite serait opportun" a déclaré le Ministre López Contreras.
Il a ajouté qu'un fonctionnaire a cependant été autorisé à séjourner pour une raison très spécifique, car il est un proche collaborateur de la médiation avec le Costa Rica.
Le Ministre des Affaires Étrangères et le Vice Ministre des Affaires Étrangères Martha Lorena Casco a précisé que la situation ne devrait pas être interprété comme une mesure pour provoquer la communauté internationale.
Source : La Prensa.hn
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