La resistencia invadió propiedad privada, ingresó a casas y dañó su infraestructura
Los vecinos de la colonia Palmira, sede de la embajada de Brasil en esta ciudad, vivieron una noche "infernal".
Uno de ellos se atrevió a responsabilizar al ex presidente Manuel Zelaya y al presidente de Brasil Inacio Lula da Silva por los daños que sufrieron en su propiedad.
"No solo eso, también los responsabilizó por lo que me pueda pasar a mí, a mi vida... soy Janín Padilla", dijo la afectada.
"Él (Zelaya) dice que ama a Honduras, han violado mis derechos, mi casa ha sido ultrajada", lamentó Padilla.
Su casa está a la par de la embajada brasileña, donde permanece el ex presidente Zelaya desde el domingo, razón por la que sus seguidores se desplazaron hasta ese lugar dañando viviendas, vehículos y negocios.
"Yo le pregunto a ese ciudadano que nació en el lugar equivocado, porque esta patria no lo reconoce, bajó qué derecho irrumpen en mi casa", amplió.
"Fumaron marihuana"
Padilla lamentó lo sucedido a su casa, donde le rompieron el cielo raso, quebraron el comedor y "casi violan a mis dos trabajadoras", acusó.
A parte de eso "fumaron marihuana... la señora Xiomara de Zelaya salió y mis empleadas la vieron y les han tomado fotografías, tienen videos, gente joven que vino con tubos y destruyó mi propiedad".
La afectada se mostró indignada y se sintió orgullosa de dar la cara, no "como él (como Zelaya) que se esconde, que salga si los tiene bien puestos, así como yo tengo los ovarios bien puestos".
Jorge Ponce, otro vecino de esta vecindad, salió a hablar con los medios y contó que "fue una noche infernal".
Ponce recibió una llamada de su hijo, que quería saber de su estado físico. "Todo bien, hijo, no se preocupe", le respondió.
Este vecino contó que a medida llegaba gente, el día lunes, él decidió abandonar su casa. "Estaban quemando llantas y temí por lo que podían hacer, fue una noche infernal", reiteró Ponce, que cargaba una bolsa con pertenencias básicas que llevaba a otro apartamento donde está albergado temporalmente.
Otros vecinos se limitaron a curiosear por sus ventanas y terrazas las acciones de la policía y el movimiento en la embajada brasileña.
Uno que otro vehículo abandonó algunas viviendas frente a la embajada por obvias razones, pese a que la policía ofreció seguridad a los pobladores de esa colonia. Sin embargo, aún hay amenazas de la resistencia de tomarse el lugar.
Fuente : El Heraldo.hn
Los vecinos de la colonia Palmira, sede de la embajada de Brasil en esta ciudad, vivieron una noche "infernal".
Uno de ellos se atrevió a responsabilizar al ex presidente Manuel Zelaya y al presidente de Brasil Inacio Lula da Silva por los daños que sufrieron en su propiedad.
"No solo eso, también los responsabilizó por lo que me pueda pasar a mí, a mi vida... soy Janín Padilla", dijo la afectada.
"Él (Zelaya) dice que ama a Honduras, han violado mis derechos, mi casa ha sido ultrajada", lamentó Padilla.
Su casa está a la par de la embajada brasileña, donde permanece el ex presidente Zelaya desde el domingo, razón por la que sus seguidores se desplazaron hasta ese lugar dañando viviendas, vehículos y negocios.
"Yo le pregunto a ese ciudadano que nació en el lugar equivocado, porque esta patria no lo reconoce, bajó qué derecho irrumpen en mi casa", amplió.
"Fumaron marihuana"
Padilla lamentó lo sucedido a su casa, donde le rompieron el cielo raso, quebraron el comedor y "casi violan a mis dos trabajadoras", acusó.
A parte de eso "fumaron marihuana... la señora Xiomara de Zelaya salió y mis empleadas la vieron y les han tomado fotografías, tienen videos, gente joven que vino con tubos y destruyó mi propiedad".
La afectada se mostró indignada y se sintió orgullosa de dar la cara, no "como él (como Zelaya) que se esconde, que salga si los tiene bien puestos, así como yo tengo los ovarios bien puestos".
Jorge Ponce, otro vecino de esta vecindad, salió a hablar con los medios y contó que "fue una noche infernal".
Ponce recibió una llamada de su hijo, que quería saber de su estado físico. "Todo bien, hijo, no se preocupe", le respondió.
Este vecino contó que a medida llegaba gente, el día lunes, él decidió abandonar su casa. "Estaban quemando llantas y temí por lo que podían hacer, fue una noche infernal", reiteró Ponce, que cargaba una bolsa con pertenencias básicas que llevaba a otro apartamento donde está albergado temporalmente.
Otros vecinos se limitaron a curiosear por sus ventanas y terrazas las acciones de la policía y el movimiento en la embajada brasileña.
Uno que otro vehículo abandonó algunas viviendas frente a la embajada por obvias razones, pese a que la policía ofreció seguridad a los pobladores de esa colonia. Sin embargo, aún hay amenazas de la resistencia de tomarse el lugar.
Fuente : El Heraldo.hn
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Les habitants quartier de Palmira craignent pour leur vie
Les zelayistes ont envahi des propriétés privées, ils sont entrés dans les maisons et ont endommagé les infrastructures
Les habitants du quartier de Palmira, où se trouve l'Ambassade du Brésil ont vécu une "nuit d'enfer".
Un de n'a pas eu peur de rendre responsable l'ex-président Manuel Zelaya ainsi que le président du Brésil Inacio Lula da Silva pour le préjudice qu'ils ont subi dans leur propriété.
"Non seulement cela, je le rend également responsable de ce qu'il peut me passer,à moi, a ma vie ... Je suis Janin Padilla," a déclaré cette personne affecté.
"Lui (Zelaya) dit qu'il aime le Honduras , mais ils ont violé mes droits, ma maison a été outragée", se lamentait Padilla.
Sa maison est mitoyenne avec l'ambassade du Brésil, où se trouve l'ex-président Zelaya depuis dimanche, c'est pourquoi ses partisans se sont déplacés vers ce lieu endommageant des maisons, des véhicules et des magasins.
"Je demande à ce citoyen qui est né au mauvais endroit, pour quelle raison cette patrie ne le reconnaissent pas, de quel droit font-ils irruption dans ma maison», a-t-il ajouté.
"ils ont fumé de la marijuana"
Padilla a regretté ce qui c'est passé à son domicile, dans lequel le plafond a été cassé, ils ont brisé la salle à manger et "pour un peu ils auraient violé mes deux employées", a-t-il accusé.
Cela mis à part "ils ont fumé de la marijuana ... Mme Xiomara de Zelaya est sortie et mes employées l'on vu et l'ont prise en photo, elles ont des vidéos, des jeunes qui sont venus avec des tuyaux et ont détruit ma propriété."
La personne affectée s'est montré indigné et s'est senti fière de se montrer aux yeux de tous, pas "comme lui, Zelaya, qui se cache, qu'il sorte s'il en a, moi en tout cas je n'ai pas peur de me montrer.
Jorge Ponce, un autre résident du quartier de l'ambassade est venu parler aux médias et a raconte que "ce fut une nuit d'enfer".
Ponce a reçu un appel téléphonique de son fils, qui voulait savoir s'il allait bien. "Tout va bien, fils, ne vous inquiétez pas", lui a-t-il répondu.
Ce résident a déclaré que lundi, au fur et à mesure que les gens arrivaient, il a décidé de partir. "Ils faisaient brûler des pneus et j'avais peur pour ce qu'ils pouvaient faire, ce fut une nuit infernale, a répété Ponce, qui portait un sac contenant des effets personnels qu'il transportait vers un autre appartement où il est logé provisoirement.
D'autres résidents se sont limités à "faire les curieux", regardant par leurs fenêtres et leurs terrasses, les actions de la police et le mouvement dans l'ambassade du Brésil.
Pour des raisons évidentes les résidents habitant face à l'ambassade sont partis en voiture abandonnant leurs maisons, bien que les policiers leur aient offert la sécurité nécessaire. Cependant, la résistance menace encore de s'approprier la zone.
Source : El Heraldo.hn
Les habitants du quartier de Palmira, où se trouve l'Ambassade du Brésil ont vécu une "nuit d'enfer".
Un de n'a pas eu peur de rendre responsable l'ex-président Manuel Zelaya ainsi que le président du Brésil Inacio Lula da Silva pour le préjudice qu'ils ont subi dans leur propriété.
"Non seulement cela, je le rend également responsable de ce qu'il peut me passer,à moi, a ma vie ... Je suis Janin Padilla," a déclaré cette personne affecté.
"Lui (Zelaya) dit qu'il aime le Honduras , mais ils ont violé mes droits, ma maison a été outragée", se lamentait Padilla.
Sa maison est mitoyenne avec l'ambassade du Brésil, où se trouve l'ex-président Zelaya depuis dimanche, c'est pourquoi ses partisans se sont déplacés vers ce lieu endommageant des maisons, des véhicules et des magasins.
"Je demande à ce citoyen qui est né au mauvais endroit, pour quelle raison cette patrie ne le reconnaissent pas, de quel droit font-ils irruption dans ma maison», a-t-il ajouté.
"ils ont fumé de la marijuana"
Padilla a regretté ce qui c'est passé à son domicile, dans lequel le plafond a été cassé, ils ont brisé la salle à manger et "pour un peu ils auraient violé mes deux employées", a-t-il accusé.
Cela mis à part "ils ont fumé de la marijuana ... Mme Xiomara de Zelaya est sortie et mes employées l'on vu et l'ont prise en photo, elles ont des vidéos, des jeunes qui sont venus avec des tuyaux et ont détruit ma propriété."
La personne affectée s'est montré indigné et s'est senti fière de se montrer aux yeux de tous, pas "comme lui, Zelaya, qui se cache, qu'il sorte s'il en a, moi en tout cas je n'ai pas peur de me montrer.
Jorge Ponce, un autre résident du quartier de l'ambassade est venu parler aux médias et a raconte que "ce fut une nuit d'enfer".
Ponce a reçu un appel téléphonique de son fils, qui voulait savoir s'il allait bien. "Tout va bien, fils, ne vous inquiétez pas", lui a-t-il répondu.
Ce résident a déclaré que lundi, au fur et à mesure que les gens arrivaient, il a décidé de partir. "Ils faisaient brûler des pneus et j'avais peur pour ce qu'ils pouvaient faire, ce fut une nuit infernale, a répété Ponce, qui portait un sac contenant des effets personnels qu'il transportait vers un autre appartement où il est logé provisoirement.
D'autres résidents se sont limités à "faire les curieux", regardant par leurs fenêtres et leurs terrasses, les actions de la police et le mouvement dans l'ambassade du Brésil.
Pour des raisons évidentes les résidents habitant face à l'ambassade sont partis en voiture abandonnant leurs maisons, bien que les policiers leur aient offert la sécurité nécessaire. Cependant, la résistance menace encore de s'approprier la zone.
Source : El Heraldo.hn
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