samedi 17 octobre 2009

[Video] "Alea iacta est" : No al retorno de Zelaya

Castellano - Article en Français par Honduras Démocratique

Las dos comisiones no han logrado el consenso después de ocho días en deliberaciones en el hotel Clarion de Tegucigalpa.

El pacto de secretividad se rompió alrededor de las seis de la tarde, cuando la comisión de Manuel Zelaya brindó una conferencia de prensa, en la que leyó una contrapropuesta al Gobierno interino, referente al punto seis del "Acuerdo de San José".

Propuesta de Manuel Zelaya

Para ver la propuesta seguir este enlace

"Respetuosamente solicitamos al Congreso Nacional que previo dictamen de las instancias pertinentes, si lo estima necesario, emita la decisión correspondiente a ese punto, que textualmente dice: para lograr la reconciliación y fortalecer la democracia, solicitamos al Congreso Nacional que a efectos de recuperar la integración y legitima conformación de los poderes constituidos al 28 de junio de 2009, en lo procedente retrotraiga la situación del Poder Ejecutivo, el Poder Legislativo, el Poder Judicial y el Tribunal Supremo Electoral a su estado previo al 28 de junio, por haber sido conformados según los artículos 202, 205 incisos 9 y 11 y 236 de la Constitución de la República de Honduras".

"Lo anterior implica el retorno de José Manuel Zelaya Rosales a la Presidencia de la República hasta la conclusión del actual periodo gubernamental, el 27 de enero de 2010", dice la propuesta zelayista.

Propuesta del Presidente Roberto Micheletti

Para ver la propuesta seguir este enlace

Al verse presionados por la comisión de Manuel Zelaya que había hecho pública la contrapropuesta, el grupo de Roberto Micheletti reveló su propuesta.

"Para lograr la reconciliación nacional y fortalecer la democracia, reconocemos la legitimidad de los poderes constituidos al 28 de junio de 2009: el Poder Legislativo, Poder Judicial y el Tribunal Supremo Electoral, por haber sido conformados según los artículos 202, 205, numerales 9 y 11 de la Constitución de la República. En cuanto a la pretensión del ciudadano José Manuel Zelaya Rosales de retornar a la Presidencia de la República, condicionamos nuestro acuerdo al criterio institucional de la Corte Suprema de Justicia, como ente encargado constitucionalmente de la aplicación de la ley."

"Lo anterior implica que la opinión del Poder Judicial tendrá carácter vinculante y por consiguiente de obligatorio cumplimiento para las partes intervinientes en este diálogo. Para este propósito respetuosamente formulamos atenta solicitud al Poder Judicial y al efecto se le cursa los términos del presente acuerdo", dice la propuesta de Micheletti.

Los zelayistas quieren el análisis del Congreso Naciona,l y los de Roberto Micheletti el de la Corte Suprema. Al respecto, Vilma Morales, mencionó que analizarán la contrapropuesta que hizo la otra comisión, la cual será presentada al presidente interino. Manifestó que las pláticas han sido suspendidas por el fin de semana, pero que estarán en contacto telefónico con los otros miembros e informarán de la reanudación del diálogo que probablemente será el lunes.

Manuel Zelaya

Manuel Zelaya rechazó este viernes por ser "absolutamente inaceptable", la propuesta del Gobierno de Roberto Micheletti, de que sea la Corte Suprema la que decida su restitución, dijo uno de sus negociadores, pero anunció que el diálogo continúa.

"Es una propuesta absurda. Nosotros propusimos que fuera el Congreso, que previa opinión de las instancias pertinentes, incluyendo la Corte Suprema de Justicia (...), emita la decisión", dijo Víctor Meza.

Victor Meza aseguró que aún esperan una reconsideración de Roberto Micheletti, pese a que vencieron todos los plazos que puso el mandatario depuesto, para cerrar la negociación.

Roberto Micheletti

El gobierno de Roberto Micheletti aseguró que continúa en el diálogo con Zelaya, pese a las posturas opuestas sobre si el Congreso o la Corte Suprema, deben decidir la restitución del líder derrocado.

"Seguimos en el diálogo todo el tiempo que sea necesario. El gobierno ofrece toda las disposiciones y garantías para que la mesa de diálogo se prolongue", dijo el ministro de la Presidencia, Rafael Pineda Ponce.

Conclusión

El conflicto se debe a que Manuel Zelaya, propone que sea el Congreso, el que decida si debe volver al poder, pero el Gobierno de Roberto Micheletti sostiene que esa, es potestad de la Corte Suprema de Justicia.

Honduras Démocratique

Video



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Français
"Alea jacta est" : Non au retour de Zelaya

Les deux commissions n'ont pas atteint de consensus, après huit jours de délibérations à l'hôtel Clarion de Tegucigalpa.

Le pacte du secret a été rompu vers six heures, quand la commission de Manuel Zelaya a donné une conférence de presse au cours de laquelle a été lu une contre-proposition à celle du Gouvernement intérimaire concernant le sixième point de "l'Accord de San José".

Proposition de Manuel Zelaya

Pour voir la proposition de Zelaya uniquement en espagnol : c'est ici

"Nous demandons respectueusement au Congrès qu'après consultation des organes compétents, s'il le juge nécessaire, soit rendue une décision appropriée à cet effet, qui exprime textuellement ce qui suit: pour réaliser la réconciliation et renforcer la démocratie, nous demandons au Congrès National qu'aux effets de récupérer l'intégration et la conformation légitime des pouvoirs constitués à la date du 28 Juin 2009, il est pertinent de ramener la situation du Pouvoir Exécutif, du Pouvoir Législatif, du Pouvoir Judiciaire et le Tribunal Suprême Électoral à son statut préalable au 28 Juin, pour avoir été constitués en vertu des articles 202, 205 paragraphes 9 et 11 et 236 de la Constitution de la République du Honduras".

"Ce qui a été précédemment cité implique le retour de José Manuel Zelaya Rosales à la Présidence de la République jusqu'à la conclusion de l'actuelle période gouvernementale, le 27 Janvier 2010", expose la proposition Zelaya.

Proposition de Roberto Micheletti

Pour voir la proposition de Zelaya uniquement en espagnol : c'est ici

Pressé par la Commission de Zelaya qui avait émis une contre-proposition, le groupe Micheletti a dévoilé sa proposition.

"Pour parvenir à la réconciliation nationale et renforcer la démocratie, nous reconnaissons la légitimité du pouvoir en place au 28 Juin 2009: le Pouvoir Législatif, le Pouvoir Judiciaire et le Tribunal Suprême Electoral, ayant été constitué en vertu des articles 202, 205, paragraphes 9 et 11 de la Constitution de la République. Quant à la prétention de José Manuel Zelaya Rosales, de revenir à la Présidence de la République, nous laissons son acceptation aux critères institutionnels de la Cour Suprême, organe constitutionnel chargé de l'application de loi".

"Ce qui a été précédemment cité implique que l'avis du Pouvoir Judiciaire aura caractère d'application et par conséquence d'application obligatoire pour les parties impliquées dans ce dialogue. À cette fin, nous formulons respectueusement cette demande au Pouvoir Judiciaire et cet effet lui faisons connaître les termes de cet accord", expose la proposition de Micheletti.

Les Zelayistes veulent l'analyse du Congrès National et les représentants de Micheletti celle de la Cour Suprême. À cet égard, Vilma Morales, a mentionné qu'ils discuteront de la contre-proposition faite par l'autre commission, laquelle sera présentée au Président intérimaire. Elle a déclaré que les pourparlers ont été suspendus pour le week-end, mais qu'ils seront en contact téléphonique avec les autres membres et informeront de la reprise du dialogue qui se fera probablement lundi.

Manuel Zelaya

Vendredi, Zelaya a rejeté la proposition du Gouvernement de Micheletti, disant que c'est à la Cour Suprême de décider de sa restitution à la présidence, car elle est selon lui "absolument inacceptable", a dit un des ses négociateurs, mais a annoncé que le dialogue se poursuit.

"C'est une proposition absurde. Nous avons proposé que ce soit le Congrès, mais que celui-ci se base sur les décisions préalable des organes compétents, notamment la Cour Suprême (...), qu'ensuite il prenne la décision", a déclaré Victor Meza, négociateur de Zelaya.

Meza a certifié qu'ils espèrent encore une reconsidération de la part du Président Micheletti, en dépit du fait que tous les délais qui ont ete octroyé par l'ex-président pour clore la négociation, ont déjà expiré.

Roberto Micheletti

Le gouvernement de Roberto Micheletti a lui aussi certifié que le dialogue continu avec Zelaya, malgré les opinions contradictoires, qui sont; que ce soit le Congrès ou la Cour Suprême qui doivent décider du retour du leader destitué.

"Nous continuerons le dialogue aussi longtemps que nécessaire. Le Gouvernement offre toutes les dispositions et garanties pour que la table ronde soit prolongée", a déclaré le Ministre de la Présidence, Rafael Pineda Ponce.

Conclusion

Le conflit est du au fait que Zelaya a proposé que le Congrès décide de son retour au pouvoir, mais le Gouvernement de Roberto Micheletti soutient que c'est du pouvoir de la Cour Suprême.

Honduras Démocratique

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