mercredi 14 octobre 2009

ONU "La destitución de Zelaya fue Constitucional"

Castellano - Article en Français par Honduras Démocratique

El estudio de la crisis política en Honduras fue refrendado con información oficial que recibieron los expertos de la ONU en su visita al país, la semana pasada que coincidió con los cancilleres de la OEA.

Washington, Estados Unidos.

Un estudio del Departamento de Asuntos Políticos de la Organización de las Naciones Unidas (ONU) sobre la causas que provocaron la crisis en Honduras, concluyó que la destitución del ex presidente Manuel Zelaya, "fue constitucional y de acuerdo las leyes del país", confirmaron fuentes oficiales de ese organismo.

Esta version fue conocida oficialmente éste martes por altos funcionarios de la ONU, que también coincide con el estudio elaborado por la Biblioteca del Congreso de Estados Unidos, que analizó por su lado, la situación que generó y mantiene en una crisis política en Honduras.

El documento del estudio del Departamento de Asuntos Políticos de la ONU, se fundamento con otra información (la otra verdad) recibida en la última visita a Honduras, donde convergieron con representantes de la Organización de Estados Americanos (OEA) y aprovecharon para “conocer otros escenarios que no estaban claros”.

La información sobre esta resolución colegiada de estos expertos, fue proporcionada a hondudiario.com, por fuentes oficiales que coligen las estrategias y presiones que promueven la ex canciller Patricia Rodas y el representante permanente de Venezuela en el Consejo Permanente para pedir más sanciones contra Honduras y exigir la restitución del ex presidente Zelaya, que advirtió “un ultimátum” para éste 15 de octubre.

Estos señores están presionando y han invocado a una Asamblea Especial ante el Consejo de Seguridad, pero no se ha dado ninguna respuesta hasta la fecha, porque estaban esperando los resultados de sus propios estudios sobre la situación en Honduras, que ha mantenido dividido a Washington”, refirió el entrevistado.

La conclusión del informe dice claramente que la destitución del ex presidente Zelaya fue constitucional. Lo que confirma que no hubo golpe de Estado y refuerza la posición del presidente Barack Obama, que nunca se precipitó a juzgar la situación hondureña, como lo hizo la secretaria de Estado Hillary Clinton que corrió a condenar al pueblo hondureño, presionada por los cancilleres de la OEA”, agregó.

Las exigencias de la ex canciller Rodas en Washington, según los expertos, se han fundamentado en pedir “a la comunidad internacional más sanciones contra el régimen de facto”, y reclamó además “firmeza” a los países para que no reconozcan al gobierno golpista bajo ningún concepto.

La mayoría de los Estados miembros de las Naciones Unidas, después de conocer otros escenarios e información, ahora coinciden en que no apoyarían ninguna resolución de la Asamblea General de la ONU que solicitara sanciones para Honduras”, resumió al referirse a este estudio del Departamento de Asuntos Políticos de la ONU, que concluyó que la destitución del ex presidente Zelaya fue constitucional, que el mismo estudio coincide en la mayoría de los puntos con el estudio elaborado por la Biblioteca del Congreso de Estados Unidos.

Hondudiario
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Français
ONU : "La destitution de Zelaya était constitutionnelle"

L'étude de la crise politique au Honduras a été approuvée avec les informations officielles reçues par les experts des Nations unies en visite dans le pays la semaine dernière, visite qui a coïncidé avec celle des Ministres des Affaires Étrangères de l'OEA.

Washington, USA.

Une étude réalisée par le Département des Affaires Politiques des Nations Unies (ONU) sur les causes de la crise au Honduras, a conclu que la destitution de l'ex-président Manuel Zelaya, "était constitutionnelle en vertu des lois du pays", ont confirmé des sources officielles.

Cette version a été officiellement révélé mardi 13.10.2009 par de hauts fonctionnaires de l'ONU, version qui coïncide également avec l'étude préparée par la Bibliothèque du Congrès, qui a analysé de son coté, la situation qui a généré et maintient le Honduras dans une crise politique.

Le document de l'étude faite par le Département des Affaires Politiques de l'ONU, s'est fondé sur la base d'autres informations (l'autre vérité) reçues lors de leur dernière visite au Honduras ayant coïncidé avec celle des représentants de l'Organisation des États américains (OEA) durant laquelle ils en ont profité pour "connaître d'autres faits qui n'étaient pas clairs".

L'information sur la résolution collégiale de ces experts, a été révélée à hondudiario.com, par des sources officielles ce qui explique les stratégies et les pressions que l'ex ministre des Affaires Etrangères Patricia Rodas et le Représentant permanent du Venezuela au Conseil Permanent mettent en place pour demander plus de sanctions contre le Honduras et exiger le retour de l'ex-président Zelaya, qui a lancé un "ultimatum" pour sa restitution avant le 15 octobre.

"Ces messieurs font pression et ont invoqué une assemblée spéciale devant le Conseil de Sécurité, mais à ce jour, il n'y a pas eu de réponse, car ils attendaient les résultats de leurs propres études sur la situation au Honduras, qui a divisé Washington" a expliqué la personne interviewée.

"La conclusion du rapport dit clairement que la destitution du président Zelaya fut constitutionnel. Cela confirme qu'il n'y eu pas de coup d'État et renforce la position du Président Barack Obama, qui ne s'est pas précipite pour juger la situation au Honduras, comme l'a fait la secrétaire d'État Hillary Clinton qui s'est précipité à condamner le peuple hondurien, mise sous pression les Ministres des Affaires Étrangères l'OEA ", a-t-il ajouté.

Selon les experts, les exigences de Rodas, à Washington, consistent à demander "à la communauté internationale des sanctions contre le régime de facto" et a également réclamé de la "fermeté" aux pays afin qu'ils ne reconnaissent sous au concept le gouvernement "golpiste".

"La plupart des États membres de l'Organisation des Nations Unies, après avoir pris connaissance de faits et information qu'ils ne connaissaient pas, s'accordent aujourd'hui à considérer qu'ils ne soutiendraient aucune résolution de l'Assemblée Générale des Nations Unies qui sollicitera des sanctions contre le Honduras" a déclaré la personne interviewée, faisant référence à l'étude du Ministère des Affaires Politiques des Nations Unies, ayant conclu que la destitution de l'ex-président Zelaya était constitutionnelle, la même étude étant d'accord sur la plupart des points avec l'étude préparée par la Bibliothèque du Congrès.

Hondudiario

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