Delegados de Mel dan plazo para concluir diálogo
Un emisario del depuesto presidente dio plazo hasta el 15 de octubre para concluir el diálogo, tras advertir que después de esa fecha no se sabe que ocurrirá en el país.
Juan Barahona dijo a la AP que la posición del Frente Nacional de Resistencia Contra el Golpe de Estado "es clara y contundente: exigimos que Zelaya sea restituido en el cargo".
Aseguró que hasta el 15 de octubre dan plazo para negociar con el gobierno de Micheletti. "Y si no hay resultados en el diálogo, no sé que pasará después de esa fecha".
Señaló que las conversaciones con el gobierno de Micheletti "están en un punto muerto y no se avanzará hasta que se decida devolver el poder a Zelaya".
Anunció además que un día después que Zelaya se instale en el cargo "nosotros estamos en pie de lucha en las calles exigiendo la convocatoria a una constituyente para reformar la ley fundamental".
Víctor Meza, que representa a Zelaya en las deliberaciones, afirmó que "los resultados del diálogo son satisfactorios hasta ahora y esperamos que serán más concretos... y si después del 15 de octubre no hay acuerdo, habrá que cruzar el puente de alguna manera".
Zelaya pide restitución antes del día 15
Manuel Zelaya sostuvo que la única salida del conflicto es su restitución y que cualquier otra opción es inaceptable.
“No soy un problema, soy una solución para el pueblo y soy una solución para los mismos dictadores que no hallan qué hacer con esta dictadura”, expresó.
Dijo que no ve una salida cercana de la crisis en el país y que instaurar una mesa de diálogo es una estrategia del actual Gobierno para mantenerse en el poder.
“Creo que todavía hay una salida, pero no la veo cerca”, dijo a Radio HRN desde la embajada de Brasil.
El mandatario depuesto dio el 15 de octubre como fecha límite para su retorno al poder, pues de lo contrario deberá modificarse el calendario electoral porque “la gente no acepta ir bajo un régimen dictatorial a elecciones porque es un fraude” y el proceso “va a ser sumamente convulsionado”.
Acusó al gobierno de Micheletti de realizar maniobras de engaño y de querer celebrar los comicios como sucedió en “Afganistán, con el pueblo convulsionado, con los medios de oposición clausurados, con la gente revuelta, (para) que salga un gobierno débil y jugar con Honduras”.
Fuente : La Prensa
Un emisario del depuesto presidente dio plazo hasta el 15 de octubre para concluir el diálogo, tras advertir que después de esa fecha no se sabe que ocurrirá en el país.
Juan Barahona dijo a la AP que la posición del Frente Nacional de Resistencia Contra el Golpe de Estado "es clara y contundente: exigimos que Zelaya sea restituido en el cargo".
Aseguró que hasta el 15 de octubre dan plazo para negociar con el gobierno de Micheletti. "Y si no hay resultados en el diálogo, no sé que pasará después de esa fecha".
Señaló que las conversaciones con el gobierno de Micheletti "están en un punto muerto y no se avanzará hasta que se decida devolver el poder a Zelaya".
Anunció además que un día después que Zelaya se instale en el cargo "nosotros estamos en pie de lucha en las calles exigiendo la convocatoria a una constituyente para reformar la ley fundamental".
Víctor Meza, que representa a Zelaya en las deliberaciones, afirmó que "los resultados del diálogo son satisfactorios hasta ahora y esperamos que serán más concretos... y si después del 15 de octubre no hay acuerdo, habrá que cruzar el puente de alguna manera".
Zelaya pide restitución antes del día 15
Manuel Zelaya sostuvo que la única salida del conflicto es su restitución y que cualquier otra opción es inaceptable.
“No soy un problema, soy una solución para el pueblo y soy una solución para los mismos dictadores que no hallan qué hacer con esta dictadura”, expresó.
Dijo que no ve una salida cercana de la crisis en el país y que instaurar una mesa de diálogo es una estrategia del actual Gobierno para mantenerse en el poder.
“Creo que todavía hay una salida, pero no la veo cerca”, dijo a Radio HRN desde la embajada de Brasil.
El mandatario depuesto dio el 15 de octubre como fecha límite para su retorno al poder, pues de lo contrario deberá modificarse el calendario electoral porque “la gente no acepta ir bajo un régimen dictatorial a elecciones porque es un fraude” y el proceso “va a ser sumamente convulsionado”.
Acusó al gobierno de Micheletti de realizar maniobras de engaño y de querer celebrar los comicios como sucedió en “Afganistán, con el pueblo convulsionado, con los medios de oposición clausurados, con la gente revuelta, (para) que salga un gobierno débil y jugar con Honduras”.
Fuente : La Prensa
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Zelaya et ses partisans : Entre "ultimatum et menaces"
Les délégués de Mel donnent une date butoir pour conclure le dialogue
Un émissaire de l'ex-président a donné jusqu'au 15 octobre pour conclure le dialogue, notant que, après cette date on ne sait pas se qu'il pourrait se produire dans le pays.
Juan Barahona a déclaré à l'AP que la position du Front National de la Résistance contre le Coup d'État "il est clair et net que: nous exigeons que Zelaya soit rétabli dans ses fonctions".
Ils donnent jusqu'au 15 octobre, date limite, pour négocier avec le gouvernement de Micheletti. "S'il n'y a pas de résultats dans le dialogue, je ne sais pas ce qui se passera après cette date".
Il a signalé que les pourparlers avec le gouvernement du Micheletti,"sont dans une impasse, et aucun progrès ne pourra être fait, tant qu'il ne se sera pas décidé de rendre le pouvoir à Zelaya".
Il a également annoncé qu'un jour après que Zelaya se soit installé au pouvoir, "nous serons sur le pied de guerre, dans la rue, pour demander la convocation d'une assemblée constituante, pour reformer la loi fondamentale".
Victor Meza qui représente Zelaya dans les délibérations, a déclaré que "les résultats du dialogue sont jusqu'à présent satisfaisant, et nous avons l'espoir qu'ils soient plus concrets ... et si après le 15 Octobre il n'y a pas d'accord, il faudra bien trouver un solution d'une manière ou de l'autre".
Zelaya demande sa restitution au pouvoir avant le 15 octobre
Manuel Zelaya a déclaré que le seul moyen de sortir du conflit est sa restitution au pouvoir, et que toute autre option est inacceptable.
"Je ne suis pas un problème, je suis une solution pour le peuple et je suis une solution pour les dictateurs qui ne savent pas quoi faire avec cette dictature", a-t-il dit.
Il a dit qu'il ne voit pas de proche issue à la crise, et qu'installer un dialogue est une stratégie de l'actuel gouvernement pour se maintenir au pouvoir.
"Je pense qu'il y a encore une solution, mais je ne la vois pas proche", a-t-il déclaré à Radio HRN.
L'ex-président a donnée comme date limite de son retour au pouvoir, le 15 octobre, faute de quoi le calendrier électoral devra être modifié car "les gens ne veulent pas aller voter sous la bote d'un régime dictatorial, car c'est une fraude" et le "processus électoral sera être extrêmement agité".
Il a accusé le gouvernement de Micheletti, de manœuvres de tricherie, et de vouloir que les élections se passent comme en "'Afghanistan, avec le peuple agité, avec les médias d'opposition fermés, les gens révoltés, pour que de ces élections soit élu un gouvernement faible et jouer avec le Honduras".
Source : La Prensa
Un émissaire de l'ex-président a donné jusqu'au 15 octobre pour conclure le dialogue, notant que, après cette date on ne sait pas se qu'il pourrait se produire dans le pays.
Juan Barahona a déclaré à l'AP que la position du Front National de la Résistance contre le Coup d'État "il est clair et net que: nous exigeons que Zelaya soit rétabli dans ses fonctions".
Ils donnent jusqu'au 15 octobre, date limite, pour négocier avec le gouvernement de Micheletti. "S'il n'y a pas de résultats dans le dialogue, je ne sais pas ce qui se passera après cette date".
Il a signalé que les pourparlers avec le gouvernement du Micheletti,"sont dans une impasse, et aucun progrès ne pourra être fait, tant qu'il ne se sera pas décidé de rendre le pouvoir à Zelaya".
Il a également annoncé qu'un jour après que Zelaya se soit installé au pouvoir, "nous serons sur le pied de guerre, dans la rue, pour demander la convocation d'une assemblée constituante, pour reformer la loi fondamentale".
Victor Meza qui représente Zelaya dans les délibérations, a déclaré que "les résultats du dialogue sont jusqu'à présent satisfaisant, et nous avons l'espoir qu'ils soient plus concrets ... et si après le 15 Octobre il n'y a pas d'accord, il faudra bien trouver un solution d'une manière ou de l'autre".
Zelaya demande sa restitution au pouvoir avant le 15 octobre
Manuel Zelaya a déclaré que le seul moyen de sortir du conflit est sa restitution au pouvoir, et que toute autre option est inacceptable.
"Je ne suis pas un problème, je suis une solution pour le peuple et je suis une solution pour les dictateurs qui ne savent pas quoi faire avec cette dictature", a-t-il dit.
Il a dit qu'il ne voit pas de proche issue à la crise, et qu'installer un dialogue est une stratégie de l'actuel gouvernement pour se maintenir au pouvoir.
"Je pense qu'il y a encore une solution, mais je ne la vois pas proche", a-t-il déclaré à Radio HRN.
L'ex-président a donnée comme date limite de son retour au pouvoir, le 15 octobre, faute de quoi le calendrier électoral devra être modifié car "les gens ne veulent pas aller voter sous la bote d'un régime dictatorial, car c'est une fraude" et le "processus électoral sera être extrêmement agité".
Il a accusé le gouvernement de Micheletti, de manœuvres de tricherie, et de vouloir que les élections se passent comme en "'Afghanistan, avec le peuple agité, avec les médias d'opposition fermés, les gens révoltés, pour que de ces élections soit élu un gouvernement faible et jouer avec le Honduras".
Source : La Prensa
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