jeudi 22 octobre 2009

Zelaya y sus negociadores “no actúan de buena fe”

Castellano - Article en Français par Honduras Démocratique

La cancillería hondureña dijo hoy que el ex presidente Manuel Zelaya y su comisión negociadora en el marco de la mesa de Diálogo Guaymuras “no actúan de buena fe”, ya que por un lado suscriben acuerdos, y por otro, piden la aplicación de medidas discriminatorias contra Honduras y su pueblo.

La cancillería dijo en un comunicado que Zelaya y sus representantes “por un lado suscriben acuerdos, pero por otro, lanzan denuncias contra el Gobierno y piden la aplicación de más y mayores medidas discriminatorias contra Honduras y su pueblo; conspiran para sabotear las elecciones, piden la intervención de gobiernos extraños en nuestro territorio y siguen promoviendo una asamblea constituyente”.

Caso contrario, apuntan, la comisión del gobierno negocia con ecuanimidad, buena fe, no promueve el escándalo internacional, ha convenido el 95 por ciento del Acuerdo Guaymuras, y ha hecho propuestas razonables, serías constructivas para resolver el 5 por ciento restante.

Ante el rechazo de Zelaya de la propuesta presentada el lunes por los delegados de Micheletti, se preguntan: ¿cómo se resuelven las diferencias jurídicas en los estados con regimenes constitucionales y democráticos? Por la instancia judicial, por supuesto, se responden.

Consideran además que “la objeción de la Comisión del ex gobernante no resulta razonable ni de buena fe. Es mas, resulta prepotente por que en la mecánica de la negociación, una parte que no acepta una propuesta deviene obligada a presentar una contrapropuesta”.

La cancillería también recuerda en el comunicado el que “la cuestión política de Honduras pertenece a la esfera de su derecho interno, y no debe ser objeto de injerencia externa”, tal y como lo ha reconocido la comunidad internacional al apoyar la constitución de la mesa de diálogo entre hondureños para lograr una solución hondureña.

Finalmente exponen que la plena validez de las elecciones generales del 29 de noviembre de 2009 pertenece a la esfera de la soberanía popular del Estado de Honduras, han sido organizadas, dirigidas y supervisadas por el Tribunal Supremo Electoral que tiene rango constitucional como órgano autónomo y su proceso de elecciones internas primarias celebradas en noviembre de 2008 fueron observadas y calificadas como transparentes por observadores de la Organización de los Estados Americanos.

Fuente : Proceso Digital

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Français
Zelaya et ses négociateurs "n'agissent pas de bonne foi"

Le ministère des Affaires étrangères du Honduras a déclaré aujourd'hui que l'ex président Manuel Zelaya et sa commission négociatrice "n’agissent pas de bonne foi", car d'une part ils souscrivent à certains accords, , et d’autre part demandent l'application de mesures discriminatoires contre le Honduras et son peuple.

Le ministère des Affaires étrangères a déclaré dans un communiqué que "Zelaya et ses représentants ont d'une part signé des accords, mais de l'autre, ils lancent des accusations contre le gouvernement et demandent l'application de mesures de plus en plus discriminatoire contre le Honduras et son peuple; tentent de saboter les élections, demandent l'intervention de gouvernements étrangers sur notre territoire et continuent de promouvoir une assemblée constituante".

A l’inverse, le groupe spécial du gouvernement négocie avec équanimité, de bonne foi, ne favorise aucun scandale international, a accepté à 95 pour cent des accords de Guaymuras et a fait des propositions raisonnables, sérieuses et constructives pour résoudre les cinq pour cent restants.

Devant le rejet de Zelaya fait lundi à la proposition des délégués de Roberto Micheletti, ils se demandent: comment se résolvent les différends d'ordre juridique dans les États ayant des régimes constitutionnels et démocratiques? Par les instances judiciaire, bien sûr.

Ils estiment également que "l'objection de la commission de Manuel Zelaya n'est pas raisonnable et de bonne foi. En outre, elle est arrogante, car dans la mécanique de la négociation, lorsqu’une partie n'accepte pas le projet ils devient nécessaire de faire une contre-proposition".

Le ministère des Affaires étrangères rappelle aussi dans son communiqué que "la question politique du Honduras appartient au domaine du droit interne, et ne doit pas faire l’objet d’ingérences extérieures", comme l'a reconnu la communauté internationale en soutenant la constitution de la commission de dialogue entre honduriens, pour trouver une solution hondurienne.

Enfin, ils affirment que la pleine validité de l'élection générale du 29 Novembre, 2009 appartient à la sphère de la souveraineté populaire de l'État du Honduras, elles ont été organisées, dirigées et supervisées par le Tribunal Suprême Électoral, qui a rang constitutionnel en tant qu'organisme autonome, et que le processus électoral des primaires ayant eu lieu en Novembre 2008 ont été observées et qualifiées de transparentes par les observateurs de l'Organisation des États américains.

Source : Proceso Digital

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