mercredi 21 octobre 2009

Arturo Corrales y Manuel Zelaya “exploran” salidas

Castellano - Article en Français par Honduras Démocratique

La comisión del presidente interino Roberto Micheletti esperó todo el día para que los representantes del ex mandatario Manuel Zelaya se sentaran a la mesa del diálogo, pero eso no sucedió.

Las dos comisiones estuvieron reunidas por separado, aunque sí hubo comunicación telefónica entre ellos.

La última propuesta de Micheletti alejó a los tres representantes de Zelaya de la mesa, luego que la calificaran como “inadmisible y provocadora”.

El último planteamiento pretendió que las dos comisiones definieran, luego de conocer informes del Congreso Nacional y de la Corte Suprema de Justicia sobre lo sucedido el 28 de junio, respecto a la restitución o no de Zelaya en el poder.

Llaman a no retroceder

Hay varios factores que influyeron en que las comisiones se alejaran del diálogo. El primero es que la comitiva de Micheletti presentó su propuesta ante los medios de comunicación y no ante la comitiva de Zelaya.

Armando Aguilar, negociador de Micheletti, explicó que su contraparte pretendía conocer la propuesta pero sin sentarse en la mesa de diálogo y analizarla con anterioridad antes de sentarse con ellos.

Víctor Meza, de la delegación de Zelaya,declaró ayer que aún no han recibido esa propuesta, sólo conocen lo que trascendió ante los medios.

Pese a eso, Meza se presentó ante los medios el mismo día que su contraparte para afirmar que “si bien el diálogo no estaba roto, estaba en una fase de evidente obstrucción”.

En la mañana de ayer declaró que esperaban la propuesta de manera formal. Vilma Morales, vocera de la comitiva de Micheletti, leyó un comunicado en horas de la noche de ayer en el que afirman estar “más cerca que nunca” para alcanzar un acuerdo y “retroceder no es una opción”.

También aleja a ambos bandos el hecho que Zelaya quiere ajustarse al Acuerdo de San José.

Pero los de Micheletti apuestan por una solución que implica el respeto a la institucionalidad, a la Constitución y al pueblo. Hasta el momento se han acordado ocho puntos en el marco de San José. El tema de la restitución es el que ha empantanado los diálogos.

La comitiva de Zelaya quiere que el Congreso defina esa situación.

Reunión con Zelaya

En horas de la tarde el ex presidente Zelaya invitó a Arturo Corrales, que integra la comisión del Gobierno, para que lo visitara en la embajada de Brasil en Tegucigalpa.

Corrales catalogó como “positivo” y “fructífero” ese encuentro.

Detalló que “él (Zelaya) muestra satisfacción... exploramos varios escenarios para el desenlace final... y por respeto a él y a su comisión espero ahondar sobre ellos en la mesa del diálogo”. Pero en cables internacionales acreditados a la agencia AP, Zelaya expresó que el diálogo ha sido “obstruido maliciosamente”.

Fuente : La Prensa
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Français
Arturo Corrales et Manuel Zelaya "explorent" une sortie à la crise

La commission du président par intérim Roberto Micheletti a attendu toute la journée que les représentants de l'ex-président Manuel Zelaya à s'assoient à la table du dialogue, mais ils ne l’ont pas fait.

Les deux commissions se sont réunies séparément, bien qu'il y ait eu des appels téléphoniques entre les parties.

La dernière proposition de Micheletti a éloigné les trois représentants de Zelaya de la table du dialogue, après l’avoir qualifié comme "d’inacceptable et provocateur".

Le dernier exposé prétend que les deux comités définissent, après avoir pris connaissance du rapport du Congrès National et de la Cour Suprême de Justice au sujet de ce qui s'est passé le 28 Juin, la restitution ou non restitution de Zelaya, au pouvoir.

Ne pas faire marche arrière

Il y a plusieurs facteurs qui ont influencé les commissions pour qu’elles s’éloignent du dialogue. La première, c’est que l'entourage de Micheletti a présenté sa proposition aux médias, et non pas à la commission de Zelaya.

Armando Aguilar, négociateur de Micheletti, a déclaré que son homologue prétendait connaître la proposition, mais sans s'asseoir à la table des négociations et de l'analyser avant que ne reprenne les débats.

Victor Meza, de la délégation de Zelaya, a déclaré hier qu’ils n'ont pas encore reçu de proposition, ils savent seulement ce qui a été déclaré aux médias.

C’est à cause de cela que Meza s’est présenté aux medias le même jour que la partie adverse pour affirmer que "bien que le dialogue ne soit pas rompu, il est dans une phase d'obstruction apparente".

Hier matin Vilma Morales a affirmé qu'ils attendaient la proposition formelle. Vilma Morales, porte-parole de la commission de Micheletti, a lu une déclaration dans la soirée d’hier, dans lequel elle affirme être "plus proche que jamais" de parvenir à un accord et que " faire marche arrière n'est pas une option" .

Le fait que Zelaya veuille suivre point par point l’Accord de San José, éloigne les deux parties du dialogue.

Mais les représentants de Micheletti parient pour une solution qui implique le respect des institutions, de la Constitution et du peuple. Jusqu'ici, les deux parties sont d’accord sur huit points dans le cadre de l’Accord de San José. La question de la restitution est celui qui est dans l'impasse des pourparlers.

L'entourage de Zelaya veut Congrès de définisse cette situation.

Réunion avec Zelaya

Dans l'après-midi, l'ex-président Zelaya a invité Arturo Corrales, qui fait partie de la commission du Gouvernement, à lui rendre visite à l'Ambassade du Brésil.

Corrales a qualifié la réunion de "positive" et "fructueuse".

Il a expliqué "que Zelaya se montre satisfait ... nous explorons divers scénarios pour le dénouement final ... et par respect envers lui et à sa commission, j’espère les approfondir à la table de dialogue". Mais Zelaya a déclaré que le dialogue a été "malicieusement obstrué".Cette déclaration a été faite à des medias internationaux de l’agence AP,

Source : La Prensa

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