Se celebra el día de la Hispanidad en un momento verdaderamente dramático para los hispanohablantes, con un populismo verdaderamente agresivo y, lo que es mucho peor, con un lamentable consenso mediático sobre algunos líderes –caso del brasileño Lula da Silva- que constituyen el mayor peligro para los derechos humanos.
Hispanidad, lunes, 12 de octubre de 2009
La hispanidad de 2009 se escenifica entre Buenos Aires, donde el matrimonio cleptómano Kirchner ha dado un paso más en su camino hacia una dictadura disfrazada de democracia, con su ley mordaza sobre la prensa.
Luego está Honduras, donde está en juego la limitación de mandatos el el poder como elemento clave del sistema de libertades. Occidente, en uno de sus grandes errores históricos, está apoyando al malo de la película, al que quiere perpetuarse en el poder, a Manuel Zelaya, y está boicoteando las elecciones democráticas de noviembre.
Pero también se juega el futuro de Iberoamérica en Brasil, con un presidente Lula incontestable, dentro y fuera del país, pero que se está cargando el derecho a la vida (el área hispana siempre ha sido el mejor defensor del concebido y no nacido) y que está cargándose la libertad de expresión –pretende que no se pueda expresar opinión alguna contra la homosexualidad- además de crear un régimen caudillista en el que las dimisiones por corrupción de sus más directos colaboradores no afectan al líder. O sea, como en la España de Franco, donde la culpa no era del Jefe de Estado, y del Gobierno, sino de sus ministros, que eran muy malos.
Hugo Chávez puede ser un peligro para la democracia en Iberoamérica, como lo es el propio Zapatero, que apoya a dictadores, pero el mayor peligro es el menos reconocible como tal: se llama Lula.
¿Por qué ocurre todo esto es Hispanoaméria? Pues muy sencillo, por un peligroso proceso de descristianización del subcontinente, y no de un camino al marxismo, a pesar de la secuela populista, sino del capitalismo de Estado que Chávez llama socialismo del siglo XXI. Éste es el problema.
Eulogio López por Hispanidad
Hispanidad, lunes, 12 de octubre de 2009
La hispanidad de 2009 se escenifica entre Buenos Aires, donde el matrimonio cleptómano Kirchner ha dado un paso más en su camino hacia una dictadura disfrazada de democracia, con su ley mordaza sobre la prensa.
Luego está Honduras, donde está en juego la limitación de mandatos el el poder como elemento clave del sistema de libertades. Occidente, en uno de sus grandes errores históricos, está apoyando al malo de la película, al que quiere perpetuarse en el poder, a Manuel Zelaya, y está boicoteando las elecciones democráticas de noviembre.
Pero también se juega el futuro de Iberoamérica en Brasil, con un presidente Lula incontestable, dentro y fuera del país, pero que se está cargando el derecho a la vida (el área hispana siempre ha sido el mejor defensor del concebido y no nacido) y que está cargándose la libertad de expresión –pretende que no se pueda expresar opinión alguna contra la homosexualidad- además de crear un régimen caudillista en el que las dimisiones por corrupción de sus más directos colaboradores no afectan al líder. O sea, como en la España de Franco, donde la culpa no era del Jefe de Estado, y del Gobierno, sino de sus ministros, que eran muy malos.
Hugo Chávez puede ser un peligro para la democracia en Iberoamérica, como lo es el propio Zapatero, que apoya a dictadores, pero el mayor peligro es el menos reconocible como tal: se llama Lula.
¿Por qué ocurre todo esto es Hispanoaméria? Pues muy sencillo, por un peligroso proceso de descristianización del subcontinente, y no de un camino al marxismo, a pesar de la secuela populista, sino del capitalismo de Estado que Chávez llama socialismo del siglo XXI. Éste es el problema.
Eulogio López por Hispanidad
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Amérique latine: entre Buenos Aires et Tegucigalpa ..... en passant par Brasilia
Le jour de l'Amérique Latine se célèbre à un moment vraiment dramatique pour les hispanophones, avec un populisme vraiment agressif, et ce qui est bien pire, avec un consensus médiatique lamentable pour certains leaders, comme Lula da Silva du Brésil, qui sont le plus grand danger pour les Droits de l'Homme.
Hispanidad, Lundi 12 Octobre 2009
L'édition 2009 du "Jour de l'Amérique Latine" se met en scène entre Buenos Aires, où le couple kleptomane Kirchner, a fait un pas en avant sur la voie d'une dictature, déguisée en démocratie, en faisant voter sa loi "Bâillon" sur la presse.
Ensuite, il y a le Honduras, où est en jeu la limitation des mandats, en tant qu'élément clé du système de libertés. L'Occident, dans une de ses grandes erreurs historiques, soutient le méchant, celui qui veut se perpétuer au pouvoir, Manuel Zelaya, celui qui boycotte les élections démocratiques de novembre.
Mais se joue aussi l'avenir de l'Amérique Latine au Brésil, avec un Président Lula incontestable et incontesté, que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur du pays, un Lula qui s'attribue le droit à la vie, qui s'attribue aussi le droit à la liberté d'expression (il prétend que ne puisse s'exprimer une opinion contre l'homosexualité), en plus de la création d'un régime fort, dans lequel les démissions pour corruption de ses plus proches collaborateurs n'ont aucune incidences sur le leader "Lula". Cela se passe tout comme cela se passait dans l'Espagne franquiste, où la faute n'était pas celle du Chef de l'État et du Gouvernement, mais de ses ministres, qui étaient très mauvais.
Hugo Chávez peut constituer un danger pour la démocratie en Amérique Latine, tout comme l'est Zapatero, qui soutient des dictateurs, mais le plus grand danger est le moins reconnu comme tel: il s'appelle Lula.
Pourquoi tout cela arrive-t-il en Amérique Latine? Eh bien c'est très simple, cela arrive par un dangereux processus de déchristianisation du sous-continent, non pas d'un cheminement vers le marxisme (en dépit de la séquelle populiste), mais d'un capitalisme d'État que Chávez appelle le socialisme su XXIe siècle. C'est cela le problème.
Eulogio López pour Hispanidad
Hispanidad, Lundi 12 Octobre 2009
L'édition 2009 du "Jour de l'Amérique Latine" se met en scène entre Buenos Aires, où le couple kleptomane Kirchner, a fait un pas en avant sur la voie d'une dictature, déguisée en démocratie, en faisant voter sa loi "Bâillon" sur la presse.
Ensuite, il y a le Honduras, où est en jeu la limitation des mandats, en tant qu'élément clé du système de libertés. L'Occident, dans une de ses grandes erreurs historiques, soutient le méchant, celui qui veut se perpétuer au pouvoir, Manuel Zelaya, celui qui boycotte les élections démocratiques de novembre.
Mais se joue aussi l'avenir de l'Amérique Latine au Brésil, avec un Président Lula incontestable et incontesté, que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur du pays, un Lula qui s'attribue le droit à la vie, qui s'attribue aussi le droit à la liberté d'expression (il prétend que ne puisse s'exprimer une opinion contre l'homosexualité), en plus de la création d'un régime fort, dans lequel les démissions pour corruption de ses plus proches collaborateurs n'ont aucune incidences sur le leader "Lula". Cela se passe tout comme cela se passait dans l'Espagne franquiste, où la faute n'était pas celle du Chef de l'État et du Gouvernement, mais de ses ministres, qui étaient très mauvais.
Hugo Chávez peut constituer un danger pour la démocratie en Amérique Latine, tout comme l'est Zapatero, qui soutient des dictateurs, mais le plus grand danger est le moins reconnu comme tel: il s'appelle Lula.
Pourquoi tout cela arrive-t-il en Amérique Latine? Eh bien c'est très simple, cela arrive par un dangereux processus de déchristianisation du sous-continent, non pas d'un cheminement vers le marxisme (en dépit de la séquelle populiste), mais d'un capitalisme d'État que Chávez appelle le socialisme su XXIe siècle. C'est cela le problème.
Eulogio López pour Hispanidad
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