mardi 13 octobre 2009

Las comisiones reanudan hoy un diálogo esperanzador

Castellano - Article en Français par Honduras Démocratique

Los grupos radicales de la resistencia negocian el llamado a la constituyente con Zelaya o sin este, dijeron sus líderes.

Mientras Manuel Zelaya ha dicho que hoy martes es un día decisivo para que el gobierno de Roberto Micheletti lo restituya en la presidencia de la República, las comisiones del diálogo reanudan hoy sus conversaciones en la búsqueda de una solución al conflicto político.

Zelaya ha puesto como plazo el 15 de octubre la firma de los acuerdos entre las partes que están negociando la solución a la crisis política, cuyos puntos sensitivos aún no son objeto de discusión.

Los representantes de Zelaya y del presidente transitorio, Roberto Micheletti, llegaron la semana pasada al consenso en unos seis puntos del llamado Acuerdo de San José, base del Diálogo Guaymuras. Entre los puntos coincidentes están la creación de un gobierno de unidad y reconciliación, la creación de dos comisiones para verificar los acuerdos. Las negociaciones fueron suspendidas el pasado viernes, pero este día serán reanudadas luego de que las comisiones hicieran consultas con las partes en conflicto.

Se ha programado que este día se toquen los temas claves de la restitución y la amnistía.

Un día "decisivo"

"Todo lo que hasta ahora se ha avanzado, lo hemos aceptado para concluir pacíficamente mi mandato el 27 de enero, son los elementos del contexto, pero el martes (hoy) es decisivo, la comunidad internacional me está apoyando en darle una lección a los golpistas", afirmó Zelaya en declaraciones a corresponsales extranjeros. Zelaya indicó que "será el día esencial del diálogo para saber si esto se resolverá, pero no tengo confianza. Considero que lo que va a pasar es que el régimen golpista se va a seguir negando a acatar la resolución de la OEA y la comunidad internacional".

"Va a ser una bofetada contra la comunidad internacional si se niegan a restituir lo que usurparon", señaló.

Que no impongan plazos

Por su lado, Vilma Morales, ex presidenta de la Corte Suprema de Justicia y representante en el diálogo por el gobierno de Roberto Micheletti, pidió que no se impongan plazos a la comisión.

Morales manifestó que no hay plazos estipulados porque las comisiones vienen abordando los puntos contemplados en el documento denominado Acuerdo de San José, de manera precisa, con prudencia pero también con la responsabilidad que tiene cada una de las personas que participan en la mesa del diálogo. En cuanto a la exigencia de una de las partes en el sentido de que la solución debe darse, a más tardar el jueves de esta semana, la ex magistrada afirmó que "esto apenas comienza". Ilustró que si bien es cierto el diálogo se instaló el miércoles de la semana pasada, lo ocurrido ese día fue puro protocolo de una reunión y de la presencia de los cancilleres de la OEA.

Posteriormente a eso, el plazo trabajado por las comisiones ha sido de día y medio en el que se avanzó en un 60 por ciento.

"Yo creo que poner presión y un techo no nos ayudan a mantener la serenidad sobre la que estamos trabajando. Si nos dejan trabajar, si nos ayudan a mantener la serenidad en el diálogo, vamos a caminar por los derroteros que Honduras se merece", dijo la ex magistrada.

Mientras, el fin de semana, los grupos radicales (izquierda del bloque popular) fijaron sus posiciones en el sentido deque no renunciarán a la constituyente, mientras ex funcionarios del régimen zelayista le reclamaron al ex mandatario por haber descartado el tema ya que la mayoría de ministros firmaron el decreto en el que se hace un llamando a la constituyente.

Fuente : El Heraldo
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Français
Les Commissions reprennent aujourd'hui un dialogue plein d'espérance

Les groupes radicaux de la résistance négocient l'appel à la constituante, avec ou sans Zelaya, ont déclaré les dirigeants.

Alors que Manuel Zelaya a déclaré que mardi 13.10.2009 est un jour décisif pour que le gouvernement de M. Roberto Micheletti le réintégrer à la Présidence de la République, les commissions du dialogue reprennent leurs discussions à la recherche d'une solution au conflit politique.

Zelaya a fixé la date limite du 15 Octobre pour la signature des accords entre les parties qui négocient, accords dont les points sensibles ne sont toujours pas objet de discussion.

Les représentants de Zelaya et du Président par intérim Roberto Micheletti, sont parvenus la semaine dernière à un consensus d'environ six points de l'accord dit "Accord de San José", base du Dialogue de Guaymuras. Parmi les points coïncidents il y a ; la création d'un gouvernement d'unité et de réconciliation, la création de deux commissions chargées de vérifier les accords. Les négociations ont été suspendues vendredi dernier, mais seront reprises aujourd'hui après que les Commissions aient consulté les parties en conflit.

Il est prévu qu'aujourd'hui s'abordent les points principaux, qui sont la restitution de Zelaya et l'amnistie.

Un jour "crucial"

"Toutes les avancées faites jusqu'ici, nous les avons accepté pour donner une fin pacifique à mon mandat le 27 Janvier. Ce sont les éléments du contexte, mais mardi 13.10.2009 est un jour décisif. La communauté internationale me soutient pour donner une leçon aux responsables du coup d'État ", a déclaré Mr. Zelaya a des correspondants étrangers. Zelaya a déclaré que "mardi sera le jour essentiel du dialogue pour voir si tout cela se résoudra, mais je n'ai aucune confiance. Je considère que ce qui va arriver, c'est que le régime "golpiste" va continuer dans son refus d'honorer la décision de l'OEA et de la communauté internationale" .

"Ce sera une gifle à la communauté internationale s'ils refusent de restituer ce qu'ils ont usurpé", a-t-il dit.

N'imposez pas de délais!

De son coté, Vilma Morales, ex-présidente de la Cour Suprême de Justice et représentante du gouvernement de Mr. Roberto Micheletti dans le dialogue, a demandé que ne soit pas imposé de délais à la Commission.

Morales a déclaré qu'il n'y a aucun délais fixés, car les commissions abordent les points du document dit "Accord de San José", de façon précise, avec prudence mais également avec la responsabilité de chacune des personnes qui participent au dialogue. Quant à l'exigence d'une des parties imposant que la solution doive au plus tard être résolue le jeudi de cette semaine, l'ex magistrat a déclaré: "Cela ne fait que commencer" Elle a ajouté: "bien que le dialogue ait commencé le mercredi de la semaine dernière en présence des Ministres des Affaires Étrangères de l'OEA, ce qui s'est passé ce jour-là était un pur protocole de réunion".

Suite à cela, le temps de travail pour les commissions a été d'un jour et demi pendant lequel les avancées ont été de 60 pour cent.

"Je pense que mettre la pression et une date buttoir ne nous aident pas à maintenir la sérénité sur laquelle nous travaillons. S'ils nous laissent travailler, s'ils nous aident à maintenir la sérénité dans le dialogue, nous allons parcourir les sentiers que le Honduras se mérite", a déclaré l'ex magistrat.

Durant le week-end, d'un coté les groupes radicaux (à gauche du bloc populaire) définirent leurs positions claire, de ne pas renoncer à la constituante, tandis que de l'autre, d'anciens fonctionnaires du régime Zelayiste se sont plaint à l'ex-président et lui ont reproché d'avoir mis le sujet au oubliettes alors que la plupart des ministres ont en son temps signé le décret appelant à la constituante.

Source : El Heraldo

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